Les députés du Conseil national de Transition (CNT, Parlement intérimaire) ont voté vendredi, une loi fixant de 1 à 5 millions de CFA, les amendes à payer en cas de diffamation, pour la presse écrite, après une proposition de 10 à 15 millions qui avaient irrité les patrons de presse. Cependant, en cas de récidive de diffamation, d'injure ou d'outrage, le double de la peine sera prononcé, a souligné le Parlement burkinabè. Sur les 90 membres du Parlement intérimaire, 24 ont été favorables, 19 se sont abstenus, tandis qu'une personne a voté contre.
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Posté Le : 05/09/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L'Expression
Source : www.lexpressiondz.com