Un chef d'une grande entreprise basée à Alger a été surpris en apprenant au niveau de l'Andi (Agence nationale pour le développement de l'investissement) que pour changer le statut de son entreprise, il fallait, au préalable, certifier sa signature, sa griffe et son cachet rond à... l'Assemblée populaire communale (APC).Bien avant cette formalité, ledit opérateur devait pourtant formuler une demande, fournir un dossier complet, remplir et signer un formulaire en deux exemplaires, mettre sa griffe et son cachet rond.
Dénonçant cet acte bureaucratique, ce chef d'entreprise s'interroge si cette démarche pour le moins irrationnelle était justifiée en pleine crise sanitaire, d'une part, et au moment où les plus hautes autorités parlent de numérisation et débureaucratisation, d'autre part.
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Posté Le : 08/09/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Farid BELGACEM
Source : www.liberte-algerie.com