ILS SE REVENDIQUENT MAJORITAIREMENT DU SNAPAP : Les fonctionnaires de la Dlep de Béjaïa désavouent la section UGTALa dernière sortie médiatique d'un groupe de fonctionnaires de la DLEP (direction du logement et des équipements publics) de Béjaïa, se revendiquant comme syndicalistes affiliés à l'UGTA, lesquels ont tenu à réagir aux propos jugés ?désobligeants? du P/APW de Béjaïa, n'a pas laissé indifférente la section syndicale du Snapap de la même institution publique. En effet, dans une déclaration transmise à notre rédaction, les travailleurs de la Dlep affiliés au Snapap, à savoir 208 sur un effectif global de 240, tiennent à ?informer qui de droit que la section syndicale UGTA n'existe plus au niveau de notre direction après l'expiration de son mandat depuis une année, si ce n'est que cette secte composée de cinq personnes qui, contre vents et marées, veut mettre main basse sur 240 fonctionnaires?. Selon les rédacteurs dudit document, ?ces individus qui continuent de faire l'amalgame, semant ainsi le doute, la zizanie et la polémique à longueur de journée, ont été désavoués en avril 2011 par la majorité du personnel de la Dlep, en adhérant massivement au Snapap?. Concernant le contenu de la déclaration rendue publique par les syndicalistes de la section UGTA, les représentants du Snapap estime que ?dans sa réponse à travers la presse au P/APW de Béjaïa qui nous a traités d'incompétents, cette secte n'a réellement pas défendu notre dignité, mais elle a fait les éloges de certains responsables de notre direction. Jamais dans l'histoire de l'humanité, on a vu ou entendu un syndicat qui nage à contre-courant, c'est-à-dire contre la volonté et les intérêts des travailleurs !? Enfin, les responsables de la section Snapap de la Dlep de Béjaïa tiennent à attirer l'attention des autorités concernées ainsi que la hiérarchie de l'UGTA que ?la majorité des fonctionnaires de la Dlep se sont démarqués de cette secte? et demandent à ce qu'il soit mis fin à ?ses agissements?.
KAMEL OUHNIA
BLIDA : La Thomson à 40 DA le kg
Par la grâce du gel qui a sévi durant plusieurs semaines et la neige qui a fait tomber les fruits mûrs, l'orange Thomson ? généralement la plus chère ? a connu, cette année, une abondance sur le marché qui s'est répercutée sur son prix : 50 voire même 40 DA, certains jours. Ces oranges dont le prix avait atteint, ces dernières années, 250 DA et plus ont été, cet hiver, à la portée de pratiquement toutes les bourses. Douces et juteuses malgré leur piètre mine, elles continuent, à l'heure actuelle, de faire le bonheur de la population de la Mitidja comme cela a été le cas avec les délicieuses clémentines affectées par le gel mais qui avaient été écoulées avec succès au mois de janvier. Les dégâts (dessèchement de la peau de l'orange comme de la clémentine, réduction du calibre, noircissement des fruits dont certains finissent par se détacher de l'arbre) causés par le gel du fait de températures très basses, de nuit, ont généré chez les producteurs un empressement à cueillir massivement, à ?sauver? ces fruits avant qu'ils ne se gâtent davantage et ne puissent plus être commercialisés. Ces petites Thomson, à la peau sèche et noire par endroits, et qui se vendent depuis deux mois dans des camionnettes chargées stationnées en bordure de routes attirent les automobilistes dont certains ne lésinent pas sur la quantité à acheter. C'est que ces fruits proposés de surcroît à des prix modiques, sont nettement meilleurs que les oranges Thomson au gros calibre, souvent peu goûteuses et à la pulpe sèche que l'on peut acheter deux, trois, voire quatre fois plus chères.
FATIHA SEMANE
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Posté Le : 08/03/2012
Posté par : archives
Ecrit par : Correspondants
Source : www.liberte-algerie.com