BRÈVES du Centre

Ouargla : Le colonel Lalmass à la tête de la 4e RM de la gendarmerieLe général-major commandant de la Gendarmerie nationale, Menad Nouba, a installé, lundi 5 septembre, le colonel Lalmass Moustapha, chef du 4e commandement régional de la Gendarmerie nationale en remplacement du général Abdelhafid Abdaoui, récemment nommé commandant de la 1re région militaire de la GN. Le général a par ailleurs inspecté le chantier du centre régional des opérations du DN Ouargla et a procédé à l'inauguration de la brigade territoriale de la gendarmerie de Hassi Benabdallah, qui a été créée dans le cadre du renforcement de la présence sur le terrain des unités de la GN, et pour l'augmentation de la couverture sécuritaire dans la wilaya. Le général a également inspecté d'autres projets en cours, notamment celui du nouveau siège du groupement dans la zone d'équipements. Le patron de la GN a donné des directives pour intensifier les efforts afin d'assurer la sécurité et garantir un service public de qualité aux citoyens et aux étrangers exerçant dans la région. Il a également insisté sur l'activité de contrôle général et continu du territoire et des zones d'activité des institutions, publiques ou privées, installées dans les différentes zones industrielles. Et bien entendu, les compagnies pétrolières.G. ChahinezPour avoir saccagé des équipements et agressé un policier à l'hôpital de Boghni : Trois ans de prison ferme requis contre huit malfaiteursLes malfaiteurs arrêtés récemment à Boghni, dont l'un est toujours en fuite, ont été présentés lundi au parquet de Draâ El-Mizan (43 km au sud de Tizi Ouzou). Les faits remontent à la nuit du 14 au 15 septembre quand ce groupe avait saccagé des équipements à l'hôpital de Boghni suite à une bagarre au service des urgences. Le procureur a requis une peine de trois ans de prison ferme pour chacun des huit malfaiteurs pour les chefs d'inculpation suivants : association de malfaiteurs, rébellion, port d'armes, agression du personnel de l'hôpital et d'un policier en service. Le verdict est prévu pour le 12 octobre.F. I.MISE AU POINTSuite à votre article en dernière page de l'édition du mercredi 30 septembre 2015, intitulé "Béjaïa : Démantèlement d'un réseau de trafic d'armes à feu", signé K. Ouhnia, la famille du mis en cause B. A. de Seddouk tient à vous rappeler que cet article comporte de fausses informations, car elles sont erronées, mensongères et graves. Or le nommé B. A. (36 ans) n'a jamais exercé dans la fabrication d'armes à feu. Ce dont nous jurons sur l'honneur et le saint Coran. Quant à l'atelier dont vous prétendez l'existence, B. A. ne possède pas de garage et que ledit garage que vous avez mentionné n'a jamais été utilisé ni transformé en atelier de fabrication d'armes à feu comme peuvent l'attester tous les voisins du quartier et que vous pourrez vous-même vérifier ; d'ailleurs, si tel était le cas, il serait sous scellés, alors qu'il n'en est rien. Par conséquent, nous vous prions de bien vouloir insérer la correction nécessaire susmentionnée dans votre prochaine édition.Signé Smaïl B. (père de B. A.)PRECISIONSNous tenons à préciser que les informations rapportées par notre journaliste ont été recueillies auprès de sources sûres, vérifiées et confirmées auprès des autorités judiciaires. Dans votre mise au point, vous insistez sur le fait que votre fils (B. A.) ne dispose pas de garage faisant office d'atelier de fabrication d'armes à feu, mais vous avez sciemment passé sous silence l'information capitale, à savoir la mise sous mandat de dépôt du mis en cause pour "trafic et détention illégale" d'un important lot d'armes à feu et munitions (plus de 26 000 capsules).Kamal Ouhnia