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Bréves du Centre
EL-AFFROUN : La présidente et le procureur du tribunal installésL'installation officielle de la présidente près le tribunal d'El-Affroun, Mme Dalila Issolah (remplaçant M. Hakim Mazouzi, promu conseiller à la cour de Blida) et du procureur de la République près le même tribunal, M. Laïd Maamar (succédant à M. Youcef Menasra, promu procureur général adjoint près la cour d'Alger), nouvellement désignés à la tête de cette juridiction, suite au dernier mouvement décidé par le conseil supérieur de la magistrature, a eu lieu jeudi dernier. La cérémonie d'installation, qui s'est déroulée en présence du président de la cour de Blida, M. Abdelkader Belkacem, du procureur général près la même cour, M. Boumedienne Bacha, du corps de la magistrature et des autorités civiles et militaires des daïras d'El-Affroun, Mouzaïa et Oued El-Alleug, a été suivie d'une réunion au cours de laquelle les chefs de cour ont exhorté les magistrats à mettre tout en ?uvre pour une prise en charge effective des citoyens, notamment en matière de besoins quotidiens (nationalité, casier judiciaire, état civil). Il est à noter qu'à cet effet, des moyens informatisés ont été mis en place.Fatiha SemanDjelfa : 226 postes de travail créés par la nouvelle briqueterie Une nouvelle briqueterie en zone de Maelba, à l'est de la ville de Djelfa, vient d'être mise en service en présence du wali, Abdelkader Djellaoui, accompagné des cadres de la wilaya, du maire de la ville et du directeur de la zone d'activité. Cette briqueterie, qui est dirigée par Mme Aïcha Abdelhafidh, a créé 226 postes de travail permanents et une centaine en indirect. Elle produira 140 000 tonnes de briques. Elle vient renforcer la briqueterie existante. Au cours de la collation offerte à l'occasion, le wali a demandé à l'investisseur de faire part de ses besoins en matière de formation professionnelle du personnel. Il a été notamment question de la relance de l'activité de la taille de la pierre de l'Atlas.Jelloul Ould KheiraTigzirt : Un corps sans vie rejeté par la mer Au lendemain de la découverte du corps sans vie d'un chauffeur de taxi, Z. L., 64 ans, originaire de Yatafène, assassiné dans les environs de Boghni, à 40 km au sud-ouest de Tizi Ouzou, puis délesté de son véhicule, une autre découverte macabre vient de plonger dans l'émoi la localité de Boudjima, après la découverte du corps sans vie de M. A., 22 ans, dont la dépouille a été rejetée jeudi dernier par la mer au niveau de la plage Tassalast, dans la commune de Tigzirt. Disparu depuis le 3 février dernier, la victime a été, malheureusement, retrouvée morte, avons-nous appris de la Protection civile. La même source ne précise pas les causes exactes de la mort de M. A. Les services de sécurité ont ouvert une enquête pour élucider cette affaire.K. TighiltAprès la rencontre entre le mouvement associatif et le wali de BEjaIa : 25 associations dénoncent leur exclusion Pas moins de vingt-cinq associations, constituées en collectif d'associations de la commune de ont tenu, dernièrement, une conférence de presse au siège de documentation de la Ligue des droits de l'homme. Le collectif des associations a convié la presse au lendemain de la rencontre du wali avec des associations de la commune de Béjaïa. Une rencontre à laquelle ce collectif, selon ses membres, n'a pas été convié. Et dire que c'est ce collectif de vingt-cinq associations qui, depuis 2011, mène des actions de rue au profit du développement social et économique de la région. La dernière action de protestation organisée par ce collectif est le rassemblement du 27 janvier dernier devant le siège de la wilaya. "En mars 2013, le wali a invité toutes les associations de la commune de Béjaïa. Chose que nous avons contestée. Néanmoins, on a cédé dans l'intérêt de la population", rappelle l'un des membres. "Avant-hier, il a refait le même scénario en prenant soin de nous exclure cette fois ci", poursuit-il. Plusieurs demandes d'audience, signale-t-on, on été vainement introduite auprès du wali. Dans leurs interventions respectives, les membres du collectif n'ont pas manqué de descendre en flammes et les commis de l'Etat et les élus locaux et parlementaires de la région. "Le citoyen est convaincu qu'il doit fermer les routes pour que les autorités daignent prendre en charge ses préoccupations", juge-t-on alors. Toutefois, le collectif appelle à plus de vigilance car ce mode d'action a des retombées néfastes sur l'économie de la région. Ainsi, le collectif désignera la semaine prochaine une délégation qui ira tenter une rencontre avec le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales à Alger du moment que "les portes de la wilaya sont fermées". Le collectif juge que la région est à la traine en matière de développement social et économique et il n'en est pas question de rester les bras croisés devant cet état de fait. "Nous continuerons a se battre par des moyens légaux jusqu'au développement harmonieux de notre région", se déclare le collectif.L. OUBIRANomAdresse email




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