Algérie

Bréves de l'Ouest



Bréves de l'Ouest
Un enfant mort par électrocution
La Journée mondiale de l'enfance a été sinistre pour la famille de l'enfant K.Y., sept ans, mort électrocuté. Le drame est survenu ce vendredi, un peu après 19h, à proximité du siège de la direction de l'éducation, quand le défunt s'amusait à escalader un pylône électrique avant d'être électrocuté et rendre l'âme sur le coup. Au moment de l'incident, ses parents, qui revenaient avec lui d'une maison de jeunes où ils assistaient à la célébration de la Journée de l'enfance, s'affairaient dans un magasin. Le corps a été transporté au service de la médecine légale de l'hôpital Youcef-Damardji alors qu'une enquête a été ouverte par les services compétents.
R. S.
L'usine Coca-cola de Oued Tlélat n'a pas brûlé
L'usine Coca-cola de Oued Tlélat n'a pas pris feu, selon son directeur de site, Marc Meyer, mettant fin ainsi aux rumeurs qui faisaient état d'un incendie à l'usine de la Société des boissons de l'ouest algérien. 'En fait, c'est le dépôt d'un de nos clients qui a été la proie des flammes à Es-Sénia, ce mercredi après-midi', dira encore M. Meyer, qui a tenu à rassurer quant à la poursuite de la production. Inaugurée en 2002, la SBOA, un embouteilleur indépendant qui emploie quelque 240 employés, travaille toute la gamme des produits de coca-cola. Elle est en phase d'agrandissement et sa capacité productive est de 80 à
100 hectolitres par mois.
S.O.
SIDI BEL-ABBÈS : Le receveur du bureau de poste de Ras El-Ma écroué
Plus de dix jours après le spectaculaire hold-up commis à l'intérieur du bureau de poste de l'ex-Bedeau, sis à 100 km au sud du chef-lieu de wilaya, le juge d'instruction près le tribunal de Ras El-Ma vient de placer sous mandat de dépôt le receveur dudit bureau de poste et la mise sous contrôle judiciaire d'un commerçant alors que deux autres individus ont bénéficié d'une citation directe. Pour rappel, lors de ce hold-up, trois milliards de centimes ont été dérobés par les assaillants. À cet effet, le receveur a indiqué aux enquêteurs qu'il a été ligoté par trois individus encagoulés et, sous la menace d'armes blanches, ils l'ont sommé de vider le coffre. Ainsi, une enquête a été diligentée par les éléments de la police judicaire pour élucider cette scabreuse affaire et qui a révélé des contradictions dans les déclarations du receveur ainsi que sur les relations qu'ils entretenaient avec un commerçant.
A. BOUSMAHA
Mascara : L'un des agresseurs du maire mis en examen
Ils étaient deux jeunes hommes à avoir agressé le maire de Mascara. L'un d'eux âgé de
20 ans a été arrêté, présenté devant le procureur de la République et placé en détention en attendant de comparaÎtre devant le tribunal. Les faits remontent à il y a quelques jours quand l'un des mis en cause, celui qui demeure en fuite, a procédé sans autorisation à l'installation dans la localité de Sellatna, une agglomération relevant de la ville de Mascara, d'une baraque destinée à la vente de pastèques. Informé, le président de l'APC s'est déplacé sur le site pour constater de visu le montage de la baraque. 'Quand je suis descendu du véhicule, un jeune homme s'est présenté et m'a demandé ce que je voulais. Je lui ai demandé s'il était derrière la construction de cette baraque, il m'a répondu par l'affirmatif. En ma qualité de maire, je lui ai demandé s'il avait une patente. À cet instant, il m'a demandé de décliner mon identité. Quand j'ai dit que j'étais le président de l'APC, il s'est saisi d'une planche et m'a agressé physiquement. J'ai été blessé aux deux bras en voulant me protéger. C'est mon chauffeur qui a pris ma défense. Profitant de cet instant au cours duquel mon agresseur était aux prises avec mon chauffeur, j'ai pris la fuite pour me réfugier chez les gardes communaux. Au même moment, son complice est intervenu pour s'acharner contre le véhicule de service en brisant le pare-brise et les vitres. À l'arrivée des agents de l'ordre, les deux agresseurs ont pris la fuite', devait nous dire le maire encore traumatisé.
A. B.




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