Bréves de l'Est

KHENCHELA : Une fille de 18 ans victime d'un viol collectif
Une fille, âgée d'à peine 18 ans a été admise avant-hier, dans un état critique aux urgences médicales de l'hôpital du chef-lieu de la wilaya de Khenchela, selon des sources hospitalières. La fille en question a été enlevée et violée par 10 personnes. La victime a déclaré qu'elle a été conduite de force dans la maison d'un des violeurs où elle a été contrainte de subir les assauts de ses agresseurs. Au terme de cet acte odieux, ils l'ont laissée dans un état critique. Une plainte a été déposée au niveau du commissariat. Les services de sécurité sont parvenus à mettre la main seulement sur six personnes parmi les coupables. L'enquête suit son cours.
M. Z.
SETIF : Les cadres de l'éducation en regroupement
'Surcharge des programmes, volume horaire insuffisant pour certaines matières dont le français au primaire, établissements scolaires ne répondant pas aux normes, équipements pédagogiques non fonctionnels, TIC (technologies de l'information et de la communication) non généralisées, enseignement préparatoire qui n'est pas utilisé à bon escient et qui ne donne pas les mêmes chances à tous les enfants, postes budgétaires insuffisants d'où la surcharge des classes et système de formation des enseignants à revoir". Telles sont les principales incohérences qui sont derrière l'échec de l'application des réformes du système pédagogique initiée par l'ex-ministre Boubakeur Benbouzid en 2003. En effet, des experts, inspecteurs et autres cadres du secteur de l'éducation de la wilaya de Sétif en conclave ont finalisé les travaux des différents commissions installées au début du mois en cours pour l'évaluation de l'enseignement obligatoire du système éducatif. 'C'est une halte nécessaire pour faire le bilan de ce qui a été fait durant les dix années de la réforme. Les cadres du secteur de Sétif ont mis le doigt sur les problèmes qui seraient derrière les défaillances qui ont entravé la bonne marche des réformes afin de consolider les aspects positifs et rectifier ou corriger ce qui n'a pas bien marché. Le travail a été effectué en concertation avec les professeurs et les représentants des parents d'élèves et des syndicats", dira M. Ghennam Abdelaziz, directeur de l'éducation.
F. SENOUSSAOUI
Elle conduisait en état d'ébriété : Une jeune fille âgée de 22 ans arrêtée à Biskra
Pour avoir embouti plusieurs véhicules sur l'avenue Zaâtcha, une jeune fille âgée de 22 ans, circulant au volant d'une Peugeot 206, a été interpellée par les agents de la 2e sûreté urbaine de Biskra. En effectuant les contrôles d'usage, les policiers se rendront compte que la conductrice n'était pas lucide et qu'elle conduisait sans permis de conduire, rapporte un communiqué de la Sûreté de wilaya. Les tests divers feront découvrir que la jeune femme était en état d'ébriété. Présentée devant le juge d'instruction, la liberté provisoire lui a été accordée avec une citation directe à comparaître.
H. L.
BORDJ BOU-ARRèRIDJ : Noyade d'un enfant à Khellil
Un enfant âgé de 3 ans s'est noyé jeudi dans une retenue d'eau située au village Ras El-Aïn, près de Khellil, 32 kilomètres du chef-lieu de la wilaya. Tout a commencé lorsque le jeune garçon qui jouait dans le jardin est tombé dans une retenue d'eau.
Les membres de sa famille n'ont pas pu sauver leur fils. Une enquête de la gendarmerie a été ouverte pour déterminer les causes de cette tragédie.
Chabane BOUARISSA
EL-KALA : Un jeune homme mort asphyxié
Une personne est décédée, avant- hier dans la commune d'El-Kala, suite à l'inhalation de gaz émanant d'un réchaud à gaz butane, a indiqué une source. La même source a précisé que la victime est un jeune homme. Il a été retrouvé à son domicile sis à la cité FLN. Le corps sans vie de la victime a été transférée l'hôpital d'Annaba. Elle ne sera inhumée qu'après que le médecin légiste aura procédé à une autopsie. Une enquête a été ouverte.
Pour rappel, les services de la Protection civile ont enregistré au cours de ces derniers mois plusieurs cas d'asphyxie par le gaz, alors que d'autres citoyens ont été sauvés in extremis.
TAHAR B.