Bréves de Chlef

Saisie de 150 quintaux de câble en cuivre... Les éléments de la brigade polyvalente des douanes de Relizane, rattachée à la direction régionale de Chlef, ont saisi, en fin de semaine dernière, 150 quintaux de câble en cuivre sur la RN4, précisément au niveau du tronçon routier reliant Mohammadia à Yellel lors d'un barrage de routine aux environs de 1 h du matin. La marchandise, dont la valeur financière est évaluée à 1 500 000 DA, se trouvait à bord d'un camion de marque Shacman à destination de Mascara, et dissimulée sous un chargement de gravier. Le contrevenant encourt, quant à lui, une pénalité de 27 000 000 DA. Lors d'un deuxième barrage routier dressé sur l'autoroute Est-Ouest au lieu-dit Bourrached, dans la wilaya de Aïn Defla, les brigades des Douanes de Chlef et de Aïn Defla ont saisi, ensemble, 1 231 unités d'effets vestimentaires et de chaussures de contrebande.AHMED CHENAOUI...Et 9 à Aïn Témouchent Informés du passage d'un véhicule suspect chargé de cuivre en provenance d'Oran et à destination de la frontière algéro-marocaine, les policiers de la Sûreté de daïra d'El Amria, à une vingtaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya de Aïn Témouchent, ont dressé un barrage de sécurité pour intercepter le suspect. À la vue du dispositif de sécurité, le conducteur de la Mazda abandonnera son véhicule qui transportait 9 qx de cuivre, avant de s'enfuir.M. LARADJUn crime élucidé : 24 heures après les faits à Beni-Saf Les policiers de la Sûreté de daïra de Béni Saf ont arrêté, 24 heures après les faits, un des meurtriers présumés d'un homme abandonné devant le service des urgences de l'hôpital de Beni-Saf.Les faits remontent à mardi dernier, lorsque vers 7 heures, le corps ensanglanté d'un homme a été découvert gisant devant le service des urgences médico-chirurgicales de Béni Saf probablement après avoir été jeté d'une voiture par des individus qui se trouvaient à bord. L'enquête a permis d'identifier le véhicule ainsi que les auteurs présumés du crime avec l'arrestation de l'un d'eux, une journée seulement après les faits.M. L.