Algérie

Brèves d'Alger



Trafic de faux billets sur les réseaux sociaux : Démantèlement d'un réseau composé de 4 individusLes services de la sûreté d'Alger ont traité une affaire de vente, à des fins d'escroquerie, de faux billets en monnaie nationale (coupures de 2000 DA) qui s'est soldée par l'arrestation de 4 individus et la saisie de plusieurs objets, dont un véhicule touristique, précise un communiqué des mêmes services. Dans le cadre de la lutte contre les différentes formes de criminalités, notamment la vente de «faux» billets de 2000 DA sur les réseaux sociaux, les éléments de la police judiciaire ont remarqué un individu proposant sur une page Facebook, utilisée sous un pseudonyme, la vente de faux billets en monnaie nationale. Suite à cette découverte, un plan bien ficelé a été mis en place ayant permis l'arrestation du concerné et de trois autres individus. A. I.
Nouvelle cité Souachet : Manque de transport et absence de crèche
Les habitants de la nouvelle cité à Souachet déplorent l'absence de moyens de transport à partir de la cité ou en provenance d'autres localités, y compris du chef-lieu de la commune, Bordj El Kiffan. «Notre cité est dépourvue de moyens de transport ; pour prendre le bus, nous devons d'abord nous déplacer sur plusieurs kilomètres, avant de prendre les bus qui assurent la navette entre Qahouet Chergui-Tafourah ou encore Rouiba-Tafourah», confient-ils. Cette situation, qui dure depuis le relogement des nouveaux résidents, n'a suscité aucune réaction des responsables locaux. «dès notre installation dans la cité, nous avons pris attache avec les responsables locaux afin de leur soumettre le problème. Cependant, rien n'a été fait. Aujourd'hui, nous continuons de trouver d'énormes difficultés pour nous déplacer», soutiennent-ils. D'après ces habitants, les transporteurs qui viennent de Qahouet Chergui s'arrêtent à proximité de la cité, dans un endroit qui s'appelle Douar Ben Ziane, mais les bus arrivent complets. «Les bus qui s'arrêtent à Douar Ben Ziane arrivent complets. Nous devons monter et nous installer dans le couloir tout au long du trajet qui peut durer deux heures», affirme un habitant de la cité et de conclure : «Après le confinement, les autorités compétentes doivent se pencher sur le cas de notre cité, car le manque de transport nous pénalise tous». La cité, qui a accueilli un millier de familles recasées dans le cadre des opérations de relogement lancées par la wilaya, n'est paradoxalement pas dotée de crèche. L'absence de ce genre de structure pénalise les nouveaux habitants qui se rabattent sur les crèches se trouvant dans les communes limitrophes. «Avant le confinement, j'était obligée de passer par Rouiba pour déposer mes enfants dans la crèche communale», confie une résidente de la cité. La capacité d'accueil de cette crèche étant limitée, les parents des enfants en bas âge préfèrent déposer leur progéniture dans les garderies et les crèches de leurs anciens lieux d'habitation. C'est ainsi que des parents déposent leurs enfants dans des crèches se trouvant à El Harrach, Belouizdad, ou encore à Alger-centre. «La situation sanitaire a contraint les autorités à fermer les crèches. Avec le déconfinement, nous espérons que les pouvoirs publics vont réaliser une structure pour la petite enfance», espèrent-ils.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)