Brèves...

Tthéâtre pour enfants à Bordj Bou Arréridj : L'association culturelle Numédia régale les spectateursAffluence record, salle pleine à craquer et ambiance bon enfant. C'est ce que nous avons pu constater avant-hier à la maison de la culture Mohamed Boudiaf, lors du coup d'envoi des journées du théâtre pour enfants, organisées par l'association culturelle Numédia, et qui s'étalent du 27 au 31 mars. Plus de 11 spectacles seront donnés, dont 6 en compétition, pour décrocher l'un des 3 prix, et 5 autres hors compétition, en off. Des troupes venues de Médéa, Oran, El Eulma, Skikda, Alger, Béjaïa... donneront des spectacles et animeront également des numéros d'acrobatie et des ateliers de formation au musée El Mokrani et à la maison de la culture.
Au menu de la première journée, deux représentations ouvrent le bal : Les misérables, de la troupe locale de l'association culturelle Numédia, et L'éléphant du sultan, de la troupe Ath Ouaghlis, de Béjaïa. Les misérables est une pièce traitant du destin de deux personnages perdus dans l'espace et dans le temps, à la recherche d'un brin d'espoir susceptible de les sortir de leur bulle. Occupant toute la scène de long en large, et dans des mouvements corporels expressifs, parfois sarcastiques, les comédiens ont régalé les enfants pendant une demi-heure. Les mêmes enfants ont eu aussi droit à une autre pièce, inspirée du patrimoine berbère et interprétée en chanson par Slimane Azem, L'éléphant du sultan, de la troupe Ath Ouaghlis de Béjaïa.
Une métaphore qui décrit un sultan tyran qui sème la terreur à l'aide de son éléphant qui n'a eu de cesse de détruire les récoltes. Se voyant lésée, la population décide d'en finir. Mais en défilant devant le sultan, les «hommes» étaient terrifiés par Sa Majesté. Parmi eux, Fatma, une héroïne intrépide, qui a donné une leçon de courage et d'abnégation, en osant affronter le sultan... sous les applaudissements et le regard émerveillé des enfants. M. Allouache
Khenchela : Journée d'étude sur les énergies renouvelables
Une journée d'étude sur l'énergie renouvelable, organisée par la société française Normelec, spécialisée dans le secteur d'activité des travaux d'installation électrique, s'est tenue avant-hier, à la maison de la culture Ali Souaihi, à Khenchela. Les autorités locales de la wilaya misent sur l'intégration des technologies des énergies renouvelables pour réduire la consommation d'énergie et de l'électricité au sein de nombreuses structures et installations relevant des 21communes que compte la wilaya.
Lors de son intervention, le wali, Kamel Nouicer, s'est longuement penché sur le problème des dettes des APC envers Sonelgaz, qui représentent en même temps la plus grande partie des créances de cette entreprise (soit un taux de presque 60 % de l'ensemble des créances), «Ce qui représente un lourd fardeau financier sur le budget de fonctionnement des APC, qui sont déjà confrontées à la faiblesse des revenus à cause de la grande fragilité des investissements économiques», a indiqué le wali. Et de révéler que «la facture de consommation électrique de la commune du chef-lieu dépasse les 14 milliards de centimes». Le wali a également annoncé que «les collectivités locales de la wilaya, et à partir du second semestre de cette année, vont renforcer les activités de recherche dans le domaine de l'utilisation des énergies renouvelables tout en utilisant une technologie écologiquement rationnelle». Le wali a encouragé les chefs d'APC, à adopter «l'énergie solaire comme étant la meilleure solution pour un développement durable et économique, et aussi l'utilisation des ampoules LED au lieu des ampoules classiques dans l'éclairage public, comme première étape, en attendant la généralisation de l'énergie solaire». Mohamed Taïbi
Bir El Ater : Découverte macabre
Un homme âgé de 41 ans a été retrouvé mort, mardi, au lieudit Oued Nebka, un lieu abandonné à la sortie de la ville de Bir El Ater, apprend-on de source hospitalière. Le corps inerte du dénommé Brahmia A., père de deux enfants, a été découvert gisant par terre par un berger tôt le matin. La police a ouvert une enquête avant de saisir le procureur de la République qui a ordonné immédiatement une autopsie pour déterminer les causes exactes du décès, a précisé notre source. Lakehal Samir