Algérie

Brèves



- Sahara occidental

La République arabe sahraouie démocratique (RASD) et la République du Sud-Soudan ont décidé d'établir des relations diplomatiques au niveau des ambassadeurs, a indiqué, lundi dernier, un communiqué du ministère des Affaires étrangères sahraoui. «Soucieux de renforcer leurs relations bilatérales dans le cadre des principes et objectifs contenus dans le statut de l'Union africaine et de la Charte des Nations unies, et au regard des liens séculaires d'amitié, de solidarité et de lutte commune pour la liberté, l'autodétermination et l'indépendance, la République arabe sahraouie démocratique et la République du Sud-Soudan ont décidé d'établir des relations diplomatiques au niveau des ambassadeurs», a précisé le communiqué. Le communiqué commun a été signé par le ministre des Affaires étrangères du Sud-Soudan, Ding Kowl, et son homologue sahraoui, Salem Ould Salek.  
- Egypte

L'armée égyptienne a déclaré hier qu'elle ne «renoncerait pas à  son rôle» et a émis une mise en garde aux manifestants qui contestent sa gestion de la transition politique du pays, rapporte l'AFP. Le Conseil suprême des forces armées (CSFA) a, dans un message télévisé, souligné qu'il ne «renoncerait pas à  son rôle dans la gestion des affaires du pays durant cette période critique de l'histoire de l'Egypte». Le CSFA, qui dirige l'Egypte depuis la chute du président Hosni Moubarak le 11 février, ajoute qu'il ne «déviera pas de son rôle national». Ce conseil, d'une vingtaine de généraux, dirigé par le maréchal Hussein Tantaoui, réaffirme sa volonté d'organiser des élections législatives, puis faire adopter une nouvelle Constitution et tenir une présidentielle afin de remettre le pouvoir aux civils. Il se déclare également favorable à  la liberté d'expression «garantie pour tous, dans le cadre de la loi».  

- Libye

La rébellion libyenne a affirmé hier qu'elle n'était intéressée que par les «initiatives sérieuses» portant sur un départ de Mouammar El Gueddafi, en réaction aux informations sur les contacts du régime libyen avec la France, rapporte l'AFP. «Le Conseil national de transition ne prendra en compte que les initiatives sérieuses qui prévoient, sans équivoque, un départ d'El Gueddafi et de ses fils», a déclaré par téléphone à  l'AFP l'un des porte-parole des rebelles, Mahmoud Chammam. Ce dernier a assuré que c'est Béchir Saleh, un proche d'El Gueddafi qui était allé récemment en France pour proposer que le leader libyen soit placé en résidence surveillée en Libye sous protection internationale.


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