Brebis galeuses

Il y a une race de joueurs, fauteurs de troubles, qui provoquent les désordres là où ils passent. Ils ratent des buts mais jamais la cible quand ils se mettent à l'?uvre pour la détruire.Fraîchement débarqué de la Corse, Ciccolini, le nouvel driver de la JSK, est déjà dans le viseur de ces énergumènes dont la mission consiste à déstabiliser l'équipe via l'entraîneur, même si celui-ci vient juste de prendre les commandes. La médisance est leur point fort et, étrangement, ils réussissent à embarquer tous les autres joueurs dans ce jeu, pas du tout propre. En deux matchs, la Corse a engrangé quatre points. Une victoire à l'extérieur et un nul à domicile mais cela ne semble pas suffire puisque ces fauteurs de troubles se sont mis à beaucoup pour dénigrer le coach et le pousser à subir le même sort que ses prédécesseurs. Fort heureusement qu'il existe d'autres joueurs qui ne marchent pas dans leurs combines sinon la JSK volerait en éclats. Ces derniers sont minoritaires mais imposent le respect, à l'image de Rial qui s'est résolument opposé à ces pratiques déstabilisatrices. Ils les a rappelés à l'ordre, remis à leur place, du moins momentanément car inévitablement, ils reviendront à la charge et repartiront à l'assaut pour achever l'actuel entraîneur et tous ceux qui lui succéderont. A défaut de s'imposer au sein de l'équipe et d'arracher une place de titulaires, ils jouent un autre jeu, malsain et nuisible à l'équipe. Ce n'est pas le propre de la JSK, ces brebis galeuses sont partout, dans tous nos clubs. Royalement rémunérés, ils trouvent quand même le moyen de «cracher» sur la main de l'équipe qui les nourrit. Une race à part qui n'a rien à voir avec le football. Elle s'exprime à sa manière à défaut de s'exprimer sur le terrain car, ils n'arrivent jamais à bénéficier de la confiance des entraîneurs, étant des joueurs d'un niveau tout à fait quelconque.