Rien ne va plus à la cité universitaire du 19-Mai 1956 de l’USTO. Une vingtaine d’étudiantes en journalisme, physique, génie maritime, informatique et électronique, c’est-à-dire, des post-graduantes, viennent d’être priées par la directeur de la cité de plier bagage. Malgré leurs différentes démarches pour faire valoir qu’elles avaient besoin des labos de recherche pour préparer leurs examens, le responsable est resté de marbre prétextant qu’il ne faisait qu’obéir à une note ministérielle. Le bras de fer est allé encore plus loin : les agents de sécurité de la cité ont changé les serrures des pavillons et l’électricité a été coupée. Une plainte des étudiantes a été déposée à la Gendarmerie nationale.
Posté Le : 19/07/2008
Posté par : sofiane
Ecrit par : Rédaction de Liberte
Source : www.liberte-algerie.com