Algérie

Bouteflika ordonne leur réintégration



Le président de la République a instruit le ministère de l'Education nationale de renforcer le dialogue et la concertation pour trouver des solutionsà la grève des enseignants quiparalyse les établissements scolairesà travers le pays depuis le 30 janvier dernier à l'appel du CnapesteLe président de la République a instruit le ministère de l'Education nationale de renforcer le dialogue et la concertation pour trouver des solutionsà la grève des enseignants quiparalyse les établissements scolairesà travers le pays depuis le 30 janvier dernier à l'appel du Cnapeste
En effet, la ministre de l'Educationnationale, Nouria Benghebrit, aassuré hier, que toutes les mesuresappropriées seront prises "dans lesplus brefs délais" pour la réintégrationdes enseignants licenciés, réaffirmant que les portes "sont ouvertes"pour tous les enseignants désireux dedéposer un recours auprès des directions de l'Education.
"Sensible à la situation des enseignants et en droite ligne des orientations du président de la Républiquesur le renforcement du dialogue et de la concertation avec l'ensemble des partenaires sociaux, le ministère del'éducation nationale confirme,encore une fois, que les portes sontouvertes pour tous les enseignantsdésireux de déposer un recoursauprès des directions de l'éducation,et que toutes les mesures appropriéesseront prises dans les plus brefsdélais", a affirmé Mme Benghabritsur sa page Facebook. Interrogé lundi à ce propos, le porte-parole du Cnapeste, Messaoud Boudiba a expliqué que les profs licenciés ne feront pas de recours , considérant que la mesure de l'administration est "illégale" .
Le HCI n'a pas déclaré "Haram" les grèves
De son côté ; le HCI a démenti hier dans un communiqué publié sur son site officiel l'information selon laquelle il aurait émis une fatwa rendant "Haram", c'est-à-dire illégale du de vue religieux, les grèves. "Le HCI n'a pas émis de fetwa au sujet des grèves et celui qui le prétentn'engage que sa parole", écrit l'instance présidée par Abdell = Ghlamallah, précisant que "les fatwas du HCI sont rendues après réunion de ses membres en session ordinaire ou extraordinaire et rendue publiques sur son site officiel".
Le communiqué du HCI se veut comme un démenti à l'information rapportée surtout par les médias arabophones, mais surtout largement relayée sur les réseaux sociaux qui y ont vu "un exemple d'instrumentalisation des institutions de l'Etat à des fins politiques".
En effet, la ministre de l'Educationnationale, Nouria Benghebrit, aassuré hier, que toutes les mesuresappropriées seront prises "dans lesplus brefs délais" pour la réintégrationdes enseignants licenciés, réaffirmant que les portes "sont ouvertes"pour tous les enseignants désireux dedéposer un recours auprès des directions de l'Education.
"Sensible à la situation des enseignants et en droite ligne des orientations du président de la Républiquesur le renforcement du dialogue et de la concertation avec l'ensemble des partenaires sociaux, le ministère del'éducation nationale confirme,encore une fois, que les portes sontouvertes pour tous les enseignantsdésireux de déposer un recoursauprès des directions de l'éducation,et que toutes les mesures appropriéesseront prises dans les plus brefsdélais", a affirmé Mme Benghabritsur sa page Facebook. Interrogé lundi à ce propos, le porte-parole du Cnapeste, Messaoud Boudiba a expliqué que les profs licenciés ne feront pas de recours , considérant que la mesure de l'administration est "illégale" .
Le HCI n'a pas déclaré "Haram" les grèves
De son côté ; le HCI a démenti hier dans un communiqué publié sur son site officiel l'information selon laquelle il aurait émis une fatwa rendant "Haram", c'est-à-dire illégale du de vue religieux, les grèves. "Le HCI n'a pas émis de fetwa au sujet des grèves et celui qui le prétentn'engage que sa parole", écrit l'instance présidée par Abdell = Ghlamallah, précisant que "les fatwas du HCI sont rendues après réunion de ses membres en session ordinaire ou extraordinaire et rendue publiques sur son site officiel".
Le communiqué du HCI se veut comme un démenti à l'information rapportée surtout par les médias arabophones, mais surtout largement relayée sur les réseaux sociaux qui y ont vu "un exemple d'instrumentalisation des institutions de l'Etat à des fins politiques".


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