Le pouvoir algérien va-t-il répondre aux revendications de l'opposition par un gouvernement « non aligné » qui se chargera de l'organisation des élections, en invitant les observateurs internationaux et en acceptant la supervision des élections par les magistrats et en accordant l'agrément aux nouveaux partis politiques, ou est-ce que les conditions internes et externes et les pressions qui vont avec, font perdre au pouvoir toutes les marges de man'uvre, surtout qu'il n'a pas besoin actuellement de lutte fratricides. Toutes ces donnes ont été jetées camp de Bouteflika appelé à assurer des garanties pour éviter un clash dans une région qui ressemble à une intersection.
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Posté Le : 13/01/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : El Khabar
Source : fr.elkhabar.com