Algérie

Bouteflika attendu à la coupole '



Bouteflika attendu à la coupole '
Le dernier jour de la campagne pourrait réserver une surprise de taille. Certaines sources avancent que Abdelaziz Bouteflika animera un meeting populaire à la coupole du stade olympique Mohamed-Boudiaf à Alger. Un scénario que ses adversaires n'ont pas imaginé un seul instant.Le dernier jour de la campagne pourrait réserver une surprise de taille. Certaines sources avancent que Abdelaziz Bouteflika animera un meeting populaire à la coupole du stade olympique Mohamed-Boudiaf à Alger. Un scénario que ses adversaires n'ont pas imaginé un seul instant.Et qui ne manquera de produire son effet sur un électorat encore par trop indécis sur son choix. Un ticket gagnant pour Bouteflika ' Le jeu en vaut la chandelle. Une apparition publique du chevalier Bouteflika agira sur deux paramètres : elle boostera le taux de participation des électeurs et permettra probablement sa réélection avec une majorité confortable. Plus qu'une journée de campagne électorale pour la présidentielle du 17 avril prochain. Demain, ce sera le dernier tour de champ pour tout le monde.Les candidats à l'élection à la magistrature suprême, ou leurs représentants, s'adresseront une dernière fois à un auditoire qu'ils s'efforceront de convaincre de faire le "le bon choix". L'heure de vérité approche à grands pas. Les cinq concurrents, qui ont parcouru de long en large le vaste territoire national, procèderont à un bilan d'une campagne électorale qui a débuté timidement avant de s'enflammer, au propre et au figuré, sur les derniers jours. De Béjaïa à Metlili (Ghardaïa), Abdelmalek Sellal, le directeur de campagne du candidat-président Abdelaziz Bouteflika, a subi le courroux des citoyens pour le peu d'entrain dans la mise en application, sur le terrain, des mesures et des engagements pris en faveur des populations de ces régions ou tout simplement des protestataires opposés au 4e mandat du candidat qu'il représente par procuration.Un candidat qui ferait son "entrée" en campagne, le dernier jour, selon certaines informations relayées par les médias, lors d'un meeting prévu à la coupole du stade olympique Mohamed-Boudiaf, sur les hauteurs d'Alger. A quatre jours du scrutin, le candidat-président, qui n'est plus apparu en public depuis plus d'un an, escompte récolter des dividendes politiques enrassurant les Algériens sur ses capacités et ses facultés intellectuelles à tenir la barre du bateau-Algérie pour un nouveau mandat, à se consacrer à poursuivre et à consolider le développement durable du pays.Une première, si son état de santé le lui permet, il est absent pratiquement de tous les grands évènements nationaux, commémoration ou célébration de fêtes religieuses comme l'exigent les us politiques, qui éclipsera sans nul doute les vingt jours de campagne électorale de ses concurrents, en particulier de Ali Benflis, son plus sérieux rival à la course au palais d'El Mouradia. Une apparition publique de dernière minute de Bouteflika est la dernière "touche" du candidat-président qui veut avoir tous les atouts en main pour sortir vainqueur le jour du vote. Le "geste" de haute valeur symbolique, vaut plus que tous les "sacrifices" pour dire au peuple, "je vais bien", "je me porte bien".Une présence physique, une demande exprimée avec insistante par les Algériens et la classe politique, est en soi une garantie et une assurance que Bouteflika tient bon le gouvernail et un démenti cinglant pour ses détracteurs qui doutent vivement que le président exerce réellement le pouvoir. Il est néanmoins sûr que, si l'information se confirme de la tenue par le président-candidat d'un meeting populaire à la coupole le dernier jour de la campagne électorale, cela brouillera toutes les cartes de ses abdervaires qui ont fait de sa maladie et de son incapacité physique un motif de dénonciation de sa candidature à un 4e mandat.Il est certain aussi que le candidat-président fera salle comble à la coupole du seul fait de sa présence physique, les autres candidats à la présidence de la République, hormis Ali Benflis dans certaines chefs-lieux de wilaya et dans des enceintes à capacité réduite, peinent énormément à attirer les foules.Et qui ne manquera de produire son effet sur un électorat encore par trop indécis sur son choix. Un ticket gagnant pour Bouteflika ' Le jeu en vaut la chandelle. Une apparition publique du chevalier Bouteflika agira sur deux paramètres : elle boostera le taux de participation des électeurs et permettra probablement sa réélection avec une majorité confortable. Plus qu'une journée de campagne électorale pour la présidentielle du 17 avril prochain. Demain, ce sera le dernier tour de champ pour tout le monde.Les candidats à l'élection à la magistrature suprême, ou leurs représentants, s'adresseront une dernière fois à un auditoire qu'ils s'efforceront de convaincre de faire le "le bon choix". L'heure de vérité approche à grands pas. Les cinq concurrents, qui ont parcouru de long en large le vaste territoire national, procèderont à un bilan d'une campagne électorale qui a débuté timidement avant de s'enflammer, au propre et au figuré, sur les derniers jours. De Béjaïa à Metlili (Ghardaïa), Abdelmalek Sellal, le directeur de campagne du candidat-président Abdelaziz Bouteflika, a subi le courroux des citoyens pour le peu d'entrain dans la mise en application, sur le terrain, des mesures et des engagements pris en faveur des populations de ces régions ou tout simplement des protestataires opposés au 4e mandat du candidat qu'il représente par procuration.Un candidat qui ferait son "entrée" en campagne, le dernier jour, selon certaines informations relayées par les médias, lors d'un meeting prévu à la coupole du stade olympique Mohamed-Boudiaf, sur les hauteurs d'Alger. A quatre jours du scrutin, le candidat-président, qui n'est plus apparu en public depuis plus d'un an, escompte récolter des dividendes politiques enrassurant les Algériens sur ses capacités et ses facultés intellectuelles à tenir la barre du bateau-Algérie pour un nouveau mandat, à se consacrer à poursuivre et à consolider le développement durable du pays.Une première, si son état de santé le lui permet, il est absent pratiquement de tous les grands évènements nationaux, commémoration ou célébration de fêtes religieuses comme l'exigent les us politiques, qui éclipsera sans nul doute les vingt jours de campagne électorale de ses concurrents, en particulier de Ali Benflis, son plus sérieux rival à la course au palais d'El Mouradia. Une apparition publique de dernière minute de Bouteflika est la dernière "touche" du candidat-président qui veut avoir tous les atouts en main pour sortir vainqueur le jour du vote. Le "geste" de haute valeur symbolique, vaut plus que tous les "sacrifices" pour dire au peuple, "je vais bien", "je me porte bien".Une présence physique, une demande exprimée avec insistante par les Algériens et la classe politique, est en soi une garantie et une assurance que Bouteflika tient bon le gouvernail et un démenti cinglant pour ses détracteurs qui doutent vivement que le président exerce réellement le pouvoir. Il est néanmoins sûr que, si l'information se confirme de la tenue par le président-candidat d'un meeting populaire à la coupole le dernier jour de la campagne électorale, cela brouillera toutes les cartes de ses abdervaires qui ont fait de sa maladie et de son incapacité physique un motif de dénonciation de sa candidature à un 4e mandat.Il est certain aussi que le candidat-président fera salle comble à la coupole du seul fait de sa présence physique, les autres candidats à la présidence de la République, hormis Ali Benflis dans certaines chefs-lieux de wilaya et dans des enceintes à capacité réduite, peinent énormément à attirer les foules.




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