Algérie

Bouhamidi, ce nom à travers les siècles!



La famille Bouhamidi de Sour El Ghozlane (wilaya de Bouira), de Tablat, (wilaya de Médéa) entre autres, a donné à l'histoire de noms d'héros inoubliables, tels ce vaillant soldat que l'Emir Abdelkader envoya au sultan du Maroc pour un coup de main, à la résistance, qui n'est plus revenu au pays. Il y a eu le Bouhamidi de la bataille d'Alger qui est tombé avec les Hassiba Ben Bouali, Ali Amar dit «la Pointe» et p'tit Omar Yacef à la Casbah en 1957, lors de l'historique «bataille d'Alger»! Plus près de nous, en 1996, la joviale brune, Nadia Bouhamidi sortit de l'Ecole Nationale de la Magistrature, et avait rejoint son 1er poste à Miliana. De là, elle débuta un carrousel de services dans les juridictions les plus en vue. Spécialisée dans le pénal, Bouhamidi attira l'attention sur elle, par le sens de la responsabilité, la rectitude, l'intégrité et le sérieux dans sa conduite. Après Dellys, elle rejoignit les tribunaux de Rouiba, puis El Harrach, où elle se fit un nom: «Reine de la correctionnelle!» Elle y restera un bon bout de temps, avant de monter vers la cour d'Alger, où elle se fit remarquer par les anciens, comme par exemple le dur à cuire, l'ex-président de la 7ème chambre Med Regad. Elle fut une superbe élève assidue, et apprit beaucoup auprès de cet homme de droit, un exemplaire père de famille, toujours là, à tendre la main aux collègues en difficulté!D'ailleurs, fruit du hasard, Nadia Bouhamidi retrouvera le président de cour Regad, dans la ville des «Roses» lorsqu'il fut nomme président de la cour. Il sera gâté en retrouvant cette merveilleuse juge du siège, dont il fera la 1ère présidente de cour, adjointe! Ce n'est donc pas difficile pour Med Regad, de prendre son congé annuel, car pratiquement, son double était là et il n'y avait pas de quoi se faire un sang d'encre, en matière de remplacement! Nadia Bouhamidi, l'ex-petite -juge du siège, qui montait, montait, faisait amplement l'affaire!
La compétente et discrète juge,numero deux de la cour de Blida, assure, en ce mois de juillet 2022, l'intérim, un «cigare» aux phalanges, car elle a bien appris le métier, après un quart de siècle d'exercice, dans la magistrature.


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