Tu as assez palabré muse vespérale
Il est temps que tu te taises à jamais
Toi qui jacasses dans ce vide sidéral
Vains sont tes vers au verbe suranné
Qui pousse bêtement herbe rudérale
Va-t-en car ici personne ne te connaît
Maussade créature l'on te juge fatale
L' on aime le lucre les amours aisées
Par ici l'on ignore "Les Fleurs du Mal"
L'on juge inutile un fleuriste de la cité
Laissons- nous exister dans le banal
Le reste vous est dû poètes désaxés
Boualem RABIA.
Aube du 2 janvier 2022.
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Posté Le : 06/01/2022
Posté par : imekhlef
Ecrit par : rachid imekhlef
Source : Boualem RABIA.