Bou Saada, anciennement appelée cité du bonheur
par farouk Zahi
Dans son étude sociologique « cultures oasiennes » Youssef Nacib fait remonter sa création aux gétules, peuplades berbères de l’antique Numidie. Quand bien même, romaine ou hilalienne peu importe, elle est là, traversant le temps. Les deux derniers siècles l’ont marquée, de profonds stigmates.
Après son abdication, l’ère coloniale l’a exotisée ; tant il est vrai, qu’elle jouit d’un site où le pittoresque s’allie à la beauté du relief : dunes, eaux vives de l’oued, jardins et palmeraie. Sous l’emprise des monts Kerdada et Azzedine, des contreforts du massif saharien, elle s’est développée dans cet éco-système oasien, que rares sont les lieux qui s’en prévalent. Cécil B. de Mille, le cinéaste biblique d’Hollywood, y a tourné en 1948, quelques extérieurs de « Samson et Dalila ». Et bien plus tard, cinéastes étrangers et nationaux, profitèrent de ce cadre, pour immortaliser leurs œuvres cinématographiques. On en disait d’ailleurs : « Cette région est un véritable studio à ciel ouvert….sans sun light. »
Ces atouts et ses atours en firent la première halte de tout éthnographe, ou voyageur en mal de dépaysement. Ce tableau manquerait de piquant sans les danseuses « Ouled-Nail » ; image d’Epinal consacrée, par une pernicieuse volonté réductrice. Les tenants d’un colonialisme d’acculturation globale, sans recours, en ont ainsi décidé. Sinon comment expliquer l’occupation violente d’espaces arides ? La convoitise de terres fertiles ne peut même pas, dans ce cas, être invoquée. La conquête armée pousse à l’errance des milliers de personnes, spoliées de leurs parcours et de leurs cheptels. Les bâtisseurs de l’Ordre messianique, organisent la ville autour du bastion fortifié du nom du sinistre Cavaignac. Ce triste sire prête toujours son nom, à une importante rue de la capitale.
Le nouveau quartier s’appellera désormais le plateau de la discipline, par opposition au vieux bâti de la médina. Datant du XVI è siècle, selon certaines sources, cette dernière fut construite autour de Djamaâ-Ennakhla ou mosquée de Sidi-Thameur, saint-patron de la cité. La fortification située sur la butte dominant le Ksar, veillera pendant longtemps à la quiètude des lieux. L’immense horloge incrustée à son faîte a égrené le temps, durant le temps qu’aura duré sa colonisation.
La révolte de Mohamed Benchabira, n’est pas complètement étouffée, elle prêtait main forte à Bouziane des Zaâtcha. Les Ouled Ameur, alliés d’El-Mokrani ont été difficilement réduits. Le fameux Beauprêtre blessé, a failli y laisser sa vie, El-Bayadh l’a rattrapé.
Pour mieux faire avaler la pilule aux notables, dans le souci feint de préserver l’honneur des familles des appetits sexuels de la soldatesque, on crée Haouch-Lihoudi, appelé aussi Tabeg el Kalb( la péjoration est clairement affichée). Il s’agissait, comble du cynisme, du premier lieu de débauche. Malheur au vaincu ! Le choix du lieu n’est pas innocent. Il était à la jonction des fractions des Ouled-H’mida et des Chorfa, cette aire abrite plusieurs sanctuaires maraboutiques. Le choix participe d’une volonté délibérée de profaner le culte. Il désacralise par l’humiliation, les repères culturels de cette population déjà dominée par le salpêtre du canon. Cette communauté fière et rebelle, fait prévaloir un rigorisme religieux à même de la protéger de la violence coloniale. La zaouia d’El-Hamel aurait été créée au lendemain de l’exil de l’Emir Abdelkader.
L’Emir El-Hachemi qui s’est rapatrié volontairement après son exil syrien, n’a-t-il pas choisi le quartier des Chorfa pour y vivre et y être enterré plus tard?
Sur recommandation de son illustre père, les frères Bisker l’ont accueilli et installé dans la maison du Hassanite Azzedine ben Laifa, vieille famille du quartier. Charles de Gallant, rapporte dans son « Excursion à Bou-Saada et M’Sila- mars 1899 » cette recommandation de l’Emir Abdelkader à son fils : « Si tu dois retourner au cher pays natal, je te conseille de te diriger sur Bou-Saâda, où je conserve encore de fidèles amis, parmi les Chérif et les Bisker. »
En effet, les deux frères hadj Mohammed et hadj M’hamed, fils de Kouider ben Bisker, se rendirent à Damas, pour passer plus d’un mois auprès de L’Emir, lors de leur pèlerinage à la Mecque et à Jérusalem. Celui-ci, les traita en hôtes de marque, en raison de l’aide que lui avait fournie, leur père dans son combat contre l’envahisseur. La famille princière, était composée de deux adolescents, Khaled et Mustapha, une jeune fille Amina, leur mère Lalla Aicha, leur grand-mère maternelle Lalla El-Fassia et l’Emir El-Hachemi. C’est probablement à cette époque où Salah Chouikh dit Ghandi faisait la connaissance de l’Emir Khaled, initiateur de la création de l’Etoile Nord Africaine. A sa création le 02/7/ 1926, Salah Ghandi faisait partie, du bureau exécutif de ce parti politique historique.
L’Emir El Hachemi s’éteignait, le 16 avril 1902. Inhumé dans cette terre généreuse, à quelques mètres à peine de la demeure, où il coulait des jours heureux. Il est l’une des gloires de ce fief, qui a résisté aux troupes du colonel Pein, appelé de Constantine à la rescousse pour l’assaut final, lors de l’abdication de la résistance. Celle-ci continuait à sourdre, par l’éducation religieuse et le repli sur la mosquée. La cité comptait une quinzaine de mosquées à l’Indépendance. Le maintien de l’accoutrement, le burnous en était le symbole, les usages, la langue qui conserva sa pureté jusqu’à nos jours et la manufacture domestique ( tissage-tannerie et forge, le couteau bou-saâdi, en est un des vestiges), constituèrent les remparts à la dépersonnalisation culturelle. Cette résistance s’organisait autour de l’école coranique qui se muait en médersa. La flamme se raviva avec l’avènement de l’Etoile Nord Africaine-le P.P.A, le M.T.L.D, l’U.D.M.A, le P.C.A. et enfin le FL.N.
La cité du bonheur prit sa revanche, en islamisant les non moins célèbres peintres parisien, Alphonse Etienne Dinet et flamand Edouard Verschaffelt.
Elle s’énorgueillit d’avoir enfanté, deux figures de l’érudition religieuse : cheikh Belkacem El-Hafnaoui et Mohamed Abderrahmane Eddissi condisciple d’El-Kettani et ainé de Abderrahmane Djillali. Les Bisker, les Abdelatif, les Chérif, El-Bouti, Benaziez, Kirèche, Bayoud, Laraf, issus du 2è collège pourtant, enseignèrent dans la langue de Molière. Madani Chérif fut le premier normalien indigène, il enseignait le français, en 1882 à Tizi-Ouzou, il était suivit par Moussa Benchanouf. Les frères Benselama, médecin et pharmacien, les frères Bensalem médecin et chirurgien-dentiste arrachèrent de haute lutte, leur diplôme d’une faculté de médecine coloniale, pas très ouverte à l’indigénat. La dernière de ces grandes figures, disparue en février 2005, fut sans nulle doute Abdelkader Benraâd, digne produit de cette lignée. Médersien des années cinquante, il fut le promoteur de la plus grande colonie de lycéens et lycéennes Bou-Saâdis, du lycée franco-musulman de Ben-Aknoun et de jeunes filles de Kouba. Bilingue avéré, il fut le principal initiateur de la formation d’enseignants, au lendemain du recouvrement de la souveraineté nationale. D’autres comme les Lomri dirent le droit, parmi eux l’une des premières magistrates du pays. Ahmed ben Djeddou, faisait partie des premiers enseignants de l’université d’Alger. Abdelkader Hamida, militant de l’Union Démocratique du Manifeste Algérien, jeté ligoté du haut d’un hélicoptère,Thameur ben Chenouf dit Kamel, cadre émérite de la fédération F.L.N. de France, Mokhtar Abdelatif compagnon de Taleb Abderrahane, sont parmi ceux et celles qui ont été élevés dans le giron de Slimane ben Rabéa et Sidi-Thameur, co-fondateurs de la médina.
Ses filles ne sont pas en reste, la première femme pilote d’avion, la vice-présidente de l’U.G.E.M.A et officier de l’A.L.N. plus tard et d’autres, sont le produit de cette société qui a su pratiquer, un Islam tolérant et universaliste. Hadj Zerrouk , réformiste, crée la première medersa mixte, dans les années quarante, au quartier des Ouled –H’mida.
Résistants et intellectuels à la fois, ils ont couvé la braise qui raviva un des foyers du 1 novembre 1954. Abdelkader Dalaoui, jeune militant de la cause nationale de l’époque,se rappelle de ces hommes qui, ont devancé les événements en faisant recruter pour le maquis de Lakhdaria (ex palestro) de jeunes volontaires. Smail Bouchelalègue et Ali Benaissa n’en sont jamais revenus. Quand au recruteurs, il s’agit de Abdelkader Amrane , mort récemment (novembre 2006) et le défunt Badredine Mohamed, coiffeur de son état, pendu à Haouch-Ennaas (Djelfa) par les hordes bellounistes. Lors d’une émission télévisée sur l’Histoire de la révolution armée, l’ex.commandant de la wilaya 6, Amor Sakhri disait à l’ex colonel Ouamrane ceci : « …Bou-Saâda est allée à la révolution, bien avant que la révolution ne vienne à elle… ». Il faisait allusion à l’armement qui partait des Souamaa et des H’malat à partir de Maadher Bou-Saada. Ces deux tribus naguère bellicistes, étaient fortement armées avant le déclenchement de la guerre de libération.
L’éveil nationaliste déclenché par le pogrom de 1945, permit aux Ouléma d’inscrire la ville parmi ses places fortes. Une souscription fut lancée auprès de la population, pour la réalisation d’une médersa qui, au lendemain du recouvrement de la souveraineté nationale, devenait l’un des premiers instituts islamiques. Cette institution formera de nombreux cadres, dont certains ont occupé de hautes fonctions de l’Etat.
Si Tayeb El Watani ( le défunt Mohamed Boudiaf ) cet enfant adoptif de la cité, séjournera chez sa famille maternelle Labadi. Ce séjour lui permettait de suivre ses études complèmentaires, au collège jouxtant l’école Lucien Chalon, présentement Sidi-Thameur. Son patriotisme reconnu n’a pu se nourrir qu’auprès d’une communauté brimée par le caid, le gendarme et le garde champêtre. Les défunts Kaddour Benaissa, coureur cycliste et militant du P.P.A, Ahmed Mèch (chahid) Ali Abdelkrim initiateur du premier faoudj scout en 1940 et Aissa Bayod militant de la cause nationale, encore parmi nous, furent ses compagnons de route.
En Janvier 1956, la première bombe explosait à Haouch-Lihoudi, réponse tardive mais réponse tout de même, à l’affront subi un siècle durant. Achour Ziane vieux militant du P.P.A premier responsable zonal , créait son premier maquis le 02 décembre 1955 et faisait la jonction avec Hocine ben Abdelbaki de la zone des Aurès, dans la tribu des H’Ouamed.
A la création des wilayas historiques par le congrès de la Soummam, la 3è mintaqa devient le P.C de la wilaya 6 dirigée par Si-El-Haouès et à sa disparition par Mohamed Chabani. Cette région a, contre tout préjugé, était au centre du combat. La place militaire tenue par un général de l’armée d’occupation, ne comptait pas moins de 14 casernements, toutes armes confondues. L’aviation, arme redoutable et meurtrière était basée à 10 kms à Eddis et une base d’hélicoptère à M’cif au pied de l’expugnable mont de M’harga
Si Amirouche et Si-El-Haouès dont tout le monde, leur reconnaît l’intelligence, ne se seraient pas aventuré, sur un terrain où il y risqueraient leur vie et celle de leurs compagnons. Grâce au sacrifice de ces deux grandes figures, « Djebeil Thameur » est ce haut lieu que retiendra l’Histoire de la révolution armée. M’hamed Boutchicha rescapé de la bataille livrée le 29 mars 1959, s’en souvient dans ses moindres détails. Que Dieu lui prête vie encore. Lograda Belgacem, l’Indochinois, « ouvrait le bal » à Goueygaâ, en compagnie de Amor Driss et Slimane Lakhal dit l’Ouahrani. Ce dernier, quittait sa caserne des spahis, avec armes et bagages en 1956. Ahmed Zahi, à la fleur de l’âge, inaugurait en octobre 1961, cinq mois avant le cessez-le-feu, la première bombe humaine en se faisant exploser par une grenade défensive, emportant avec lui des harkis. Mohamed Labadi, fonctionnaire communal, transporteur d’armes pour le maquis, utilisait un officier de l’armée française comme sauf conduit, en le prenant à son bord. Amar Benaissa, emporté par la maladie au mois d’aout 2005, est ce condamné à mort qui se jeta d’une jeep, échappant ainsi à ses bourreaux parachutistes. Si Larbi Baza est cet ancien militant, qui assume son engagement lors de la grève des huit jours et refuse l’ouverture de son magasin, en dépit des menaces des militaires coloniaux. Il inaugurerait, d’ailleurs la longue liste de détenus.
L’enfant Chebichèbe, de Larouiya des Ouled Slimane, fut brûlé vif sur une touffe d’alfa, pour avoir refusé de dénoncer des résistants, dissimulés pas très loin du lieu de la crémation. S’il avait été documenté, ce frêle corps carbonisé aurait été présenté au parlement français, lors des débats sur la loi de février 2005, sublimant le colonialisme en Afrique du Nord. Malheureusement, la mélodie se jouait en sous-sol.
La région de Bou-Saada, mintaka 3 et P.C de la wilaya 6 de l’A.L.N, a supporté les principales batailles, qu’a eu à mener cette dernière contre les forces coloniales. Les maquis de Djebel-Messaâd, Meharga, Zaâfrania, Mimouna, Grine-Kebch, Zerga et Goueygaâ témoignent encore de l’âpreté des batailles, dont certaines durèrent des semaines. Le décrochage sur un terrain semi-aride, était des plus aléatoires.
A l’effet de réduire l’intensité des combats, l’armée coloniale crée des contres- feux, en inventant le commandant Kobus dans l’Ouarsenis et le général Bellounis au Sud . Ce dernier, militant du P.P.A et ex. élu de la commune de Bordj-Ménaiel , constitue ses premières troupes sur le versant sud du Djurdjura et se dirige vers le Sud (1). Nous sommes au lendemain de la découverte, des champs pétrolifères de Hassi-Messaoud. Le champ de Guétrini de Sidi-Aissa et des Adhaoura de récente découverte, n’est pas loin. Les hordes bellounistes séviront dans une aire comprise entre Ain-Boucif, Aflou, Laghouat, Djelfa, Ouled-Djellal, M’Sila et Sour-El-Ghozlane. Il est à remarquer que ces points géographiques, sont à la jonction de la wilaya 6 avec les wilayas, 5, 4,3 et 1. Ce « chancre » est en conformité avec la directive française du texte signé le 06 novembre 1957 et contenu dans le « communiqué du général Si Mohamed Bellounis ».(2) Les deux premiers points du document, ne laissent planer aucun doute, sur les intentions de la force d’occupation :
1°/ La collaboration de Bellounis et de ses troupes est admise sur le plan militaire dans la lutte contre le F.L.N.
2°/ Son action ne peut se développer que dans des zones délimitées avec précision par l’autorité militaire(Xe Region) en accord avec l’autorité civile.
Il est clair qu’on n’invente pas un contre- maquis anti-F.L.N, là où il n’y pas d’activité frontiste. Dans une première tentative, la France se préservait un autre interlocuteur, autre que le F.L.N., le Front algérien d’action démocratique (F.A.A.D) du capitaine Léger(3) fut sa deuxième vélléité. Une chose est sûre cependant, si la région n’a pas été le berceau du bellounisme, elle a par contre, été son tombeau. Elle en a souffert plus, que toute autre ailleurs. Le colonel Trinquier et sa colonne de parachutistes, lancés aux trousses de Bellounis, découvraient son corps criblé de balles.(4)
A la veille de sa mort, il ordonnait, en guise de dernier « baroud d’honneur », le massacre de plus de 400 personnes, enfouies dans un macabre charnier à Haouch-Naâs. A l’instar d’autres régions, elle subit le maitre du moment, elle n’eût pas le choix des armes. Les derniers événements vécus par le pays, n’ont ils pas démontré si besoin était, que des populations subjuguées pouvaient être placées sous le diktat de groupes armés et prises en ôtage ?
Sollicitée par l’Histoire, Bou-Saâda abritait l’été 1962 à l’hôtel « Le Caid », le président Ben Bella soutenu par l’état major général de l’A.L.N. commandé par Houari Boumédiène.
Le capitaine Zerguini relate dans un rapport que la réunion qui s’est tenue à l’hôtel « Le Caid », regroupait outre Ben-Bella et H.Boumédiène, M.Chabani commandant de la Wilaya 6, le colonel Othmane commandant de la wilaya 5, le colonel T.Zbiri commandant de la wilaya 1 .
C’est le 27 août 1962 que la marche sur Alger fût décidée et que l’A.L.N prenait, à partir de ce jour, le nom d’Armée Nationale Populaire (A.N.P.)(5)
En 1964, le colonel Chabani organisait sa sédition dans cette même ville, comptant probablement sur les nombreux compagnons de route, qu’il avait laissés derrière lui.
Cité séculaire à rayonnement culturel et cultuel , elle interpelle les consciences à l’effet, de la soutirer de la déshérence dans laquelle, elle a été durablement confinée. Si Hérodote disait que l’Egypte est un don du Nil , Y.Nacib dit quant à lui, que Bou-Saâda est un don de l’oued. Cet oued, vaisseau nourricier de la cité se meurt, sous les miasmes de rejets putrides. Le tissu urbain médiéval subit l’injure du temps. Son gommage inéxorable par la propre descendance, de ceux-là mêmes, qui ont su le sauver de la « mission civilisatrice » du colonialisme, ne peut relever que du parricide culturel. Son site fédérateur entre le Nord et le Sud, l’inscrit naturellement dans toute dynamique de développement spécifique. Elle devra se rapproprier le rang non usurpé, qui est le sien, depuis fort longtemps. La sentence populaire ne disait-elle pas : « La lettre de Fès est lue à Bou-Saâda ! » ? L’autorité politique nationale devrait intégrer les aspirations de Bou-Saâda et de ses 14 archs, dans le cadre des grands axes de travail que développera la charte sur la paix et la reconciliation nationale.
Notes de renvoi
1/ Ali Haroun – la 7è wilaya
2/ M. Harbi et G.Meynier - F.L.N.-documents et histoire-
3/ Yves Courrière - Les feux du désespoir
4/ Henri Allèg - La Guerre d’Algérie
5/ M.Harbi et G.Meynie - F.L.N -documents et histoire-
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Posté Le : 16/12/2011
Posté par : dhiab
Ecrit par : Farouk Zahi