On nous a promis monts et merveilles, mais on ne voit rien venir», dira un citoyens qui a fait le pied de grue toute une matinée pour une injection dans un centre de santé relevant de la commune Ghailassa.
«Les habitants des mechtas enclavées souffrent le martyr». Les médecins ne font le déplacement que rarement a tenu à témoigner le P/APC de Ghailassa, citant l'exemple de Ragraga et Sidi Ahcène. Pourtant le wali avait, lors de sa visite du 12 décembre dernier, instruit les responsables du secteur pour combler les carences dont souffre la polyclinique du chef-lieu de la commune de Ghailassa, tout en ordonnant l'ouverture d'une enquête sur le matériel demeuré inexploité, car rangé dans des caisses en proies aux intempéries. Rien n'a été fait, ni permanence des médecins, ni laboratoire. «Les requêtes des citoyens illustrent malheureusement le désarroi de cette population estimée à plus de quinze mille âmes», ajoute notre interlocuteur.
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Posté Le : 11/10/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : A Djerbah
Source : www.elwatan.com