Blocage psychologique persistant

Partis avec de grands espoirs à domicile, les Canaris se sont faits accrochés pour la quatrième fois de suites sur leurs bases du stade 1er novembre de Tizi Ouzou et devant leur public.Partis avec de grands espoirs à domicile, les Canaris se sont faits accrochés pour la quatrième fois de suites sur leurs bases du stade 1er novembre de Tizi Ouzou et devant leur public.Les hommes de Kamel Mouassa ont donné l'impression d'être très mal à l'aise dans cette partie et terriblement déconcentrés. Ils ont perdu leur verve et leur équipe est devenue prenable du championnat notamment à domicile. Si la JSK multiplie les contre-performances, c'est parce qu'il existe un blocage psychologique au sein du groupe et les joueurs évoluent la peur au ventre.A domicile comme à chaque sortie, les Canaris ont laissé filer la victoire à maintes reprises et n'arrivent plus à provoquer le déclic. Les choses se sont bousculées alors que l'équipe aurait pu, au moins, faire le plein chez elle à quatre reprises. Les coéquipiers de Ziaya perdent de plus en plus leurs moyens techniques et physiques à cause de cette mauvaise posture qui a trop duré et qui pèse lourd sur eux.Ainsi, le problème est surtout d'ordre psychologique, selon le premier responsable à la barre technique des Jaune et Vert. Reste maintenant à savoir si cette sortie ratée à domicile contre le MO Bejaia ne va pas laisser des traces.Une piètre prestation contre une bonne équipe de Bejaia bien organisée sur le terrain, suscite encore des interrogations dans l'entourage du club. Un match nul au gout d'une défaite a encore une fois déçu les inconditionnels des Jaune et Verts. La déception ne concerne pas le résultat seulement mais aussi la prestation de certaine joueurs sur le terrain. Les partenaires d'Asselah ont trébuché devant une équipe de Bejaia qui ne cherchait qu'un point du match nul.Un sérieux travail psychologique attend l'entraineur Kamel Mouassa en ce moment pour espérer remettre le groupe sur rail. Lors de la prochaine journée, le club phare de Djurdjura se rendra à Alger pour donner la réplique à l'USM Alger, le leader de championnat.Les observateurs du moins ceux qui suivent de plus prés l'évolution de cette équipe de la JS Kabylie, depuis l'entame de championnat, sont unanimes à dire qu'elle est loin du niveau. Face au MOB, les joueurs kabyles n'étaient que l'ombre d'euxmêmes et n'ont rien démontré sur leur jardin dans un match qu'ils auraient pu gagner.L'équipe ne tourne pas bien, et les joueurs sont appelés à redoubler d'efforts. Il ne faut pas se cacher derrière les erreurs d'arbitrages et autres futilités, il faut tirer les enseignements nécessaires et aller de l'avant. Les choses ne marchent pas comment le souhaitent les milliers des inconditionnels et le staff technique est appelé à trouver les solutions adéquates. Les journées se suivent et se ressemblent pour cette prestigieuse formation habituée aux premiers rôles.La perte de points se multiplie et le niveau technique des joueurs parfois laisse à désirer. A l'allure où vont les choses, la JSK risque revivre les scenarios précédents. Ce que ne souhaitent pas les milliers de supporters kabyles lesquels maintiennent toujours l'espoir de voir leur équipe favorite relever la tête.Les hommes de Kamel Mouassa ont donné l'impression d'être très mal à l'aise dans cette partie et terriblement déconcentrés. Ils ont perdu leur verve et leur équipe est devenue prenable du championnat notamment à domicile. Si la JSK multiplie les contre-performances, c'est parce qu'il existe un blocage psychologique au sein du groupe et les joueurs évoluent la peur au ventre.A domicile comme à chaque sortie, les Canaris ont laissé filer la victoire à maintes reprises et n'arrivent plus à provoquer le déclic. Les choses se sont bousculées alors que l'équipe aurait pu, au moins, faire le plein chez elle à quatre reprises. Les coéquipiers de Ziaya perdent de plus en plus leurs moyens techniques et physiques à cause de cette mauvaise posture qui a trop duré et qui pèse lourd sur eux.Ainsi, le problème est surtout d'ordre psychologique, selon le premier responsable à la barre technique des Jaune et Vert. Reste maintenant à savoir si cette sortie ratée à domicile contre le MO Bejaia ne va pas laisser des traces.Une piètre prestation contre une bonne équipe de Bejaia bien organisée sur le terrain, suscite encore des interrogations dans l'entourage du club. Un match nul au gout d'une défaite a encore une fois déçu les inconditionnels des Jaune et Verts. La déception ne concerne pas le résultat seulement mais aussi la prestation de certaine joueurs sur le terrain. Les partenaires d'Asselah ont trébuché devant une équipe de Bejaia qui ne cherchait qu'un point du match nul.Un sérieux travail psychologique attend l'entraineur Kamel Mouassa en ce moment pour espérer remettre le groupe sur rail. Lors de la prochaine journée, le club phare de Djurdjura se rendra à Alger pour donner la réplique à l'USM Alger, le leader de championnat.Les observateurs du moins ceux qui suivent de plus prés l'évolution de cette équipe de la JS Kabylie, depuis l'entame de championnat, sont unanimes à dire qu'elle est loin du niveau. Face au MOB, les joueurs kabyles n'étaient que l'ombre d'euxmêmes et n'ont rien démontré sur leur jardin dans un match qu'ils auraient pu gagner.L'équipe ne tourne pas bien, et les joueurs sont appelés à redoubler d'efforts. Il ne faut pas se cacher derrière les erreurs d'arbitrages et autres futilités, il faut tirer les enseignements nécessaires et aller de l'avant. Les choses ne marchent pas comment le souhaitent les milliers des inconditionnels et le staff technique est appelé à trouver les solutions adéquates. Les journées se suivent et se ressemblent pour cette prestigieuse formation habituée aux premiers rôles.La perte de points se multiplie et le niveau technique des joueurs parfois laisse à désirer. A l'allure où vont les choses, la JSK risque revivre les scenarios précédents. Ce que ne souhaitent pas les milliers de supporters kabyles lesquels maintiennent toujours l'espoir de voir leur équipe favorite relever la tête.