Plusieurs familles habitant la ville des Roses ont souffert le martyre, la veille et le jour de l'Aïd, non pas à cause du rituel du sacrifice, mais parce que leurs robinets étaient à sec. A titre d'exemple, les habitants de Bab Errahba, un quartier situé sur le « début » des hauteurs de cette ville, n'ont pas trouvé de l'eau pour les besoins du sacrifice. Certains étaient obligés d'aller chercher cette denrée ailleurs, alors qu'ils étaient censés s'occuper de leur mouton. Au niveau de la cité « Strasbourg », située dans le même quartier, le camion citerne, envoyé d'habitude par les services de l'Algérienne des eaux et qui devait alimenter la bâche d'eau de cette cité, n'était pas au rendez-vous ces deux jours-là. Cela avait transformé le rituel du sacrifice en une véritable corvée'
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Posté Le : 10/12/2008
Posté par : sofiane
Ecrit par : M. B.
Source : www.elwatan.com