Des documents
divers d'état civil de familles biskries sont en train de dépérir dans les
locaux de certains notaires de la ville. Ces archives de l'ex-syndicat
intercommunal, créé sous le régime colonial, ont été cédées à quelques notaires
avant la création de la direction des Archives et n'ont jamais fait l'objet de
récupération, en dépit des appels et des lettres officielles qu'auraient
adressé ces notaires à la direction des Archives. Ces documents, d'une
importance certaine, sont aujourd hui à la merci des cafards et des souris qui,
chaque jour, rongent un peu du passé de certaines familles enrayant à jamais
les dates de certains actes de mariage, naissance, décès... dont les
photocopies légalisées par l'étude notariale se font à pas moins de... 2.500 DA
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Posté Le : 24/06/2009
Posté par : sofiane
Ecrit par : H L
Source : www.lequotidien-oran.com