Des routes en mauvais état L’état des routes au niveau de la commune urbaine est plutôt déplorable. Que ce soit à l’intérieur ou en dehors des cités urbaines, les routes et différents accès sont devenus impraticables à la circulation automobile. Un peu partout au niveau des agglomérations urbaines rattachées à cette municipalité, c’est le même constat, le même cri d’alarme des automobilistes qui peinent à emprunter les passages routiers: dans la plupart des cas, leurs véhicules sont endommagés. Uns chose est sûre, même l’entretien des routes est devenu une vue de l’esprit à cause de l’inertie des uns et de l’immobilisme des autres. Hormis quelques rares tronçons qu’on considère comme voies principales, notamment sur l’axe routier reliant le boulevard des Platanes au CFPA de Bir El Djir, -encore que ce dernier se trouve défiguré par endroits par de nombreux ralentisseurs réalisés hors normes-, le boulevard de l’USTO, est, malheureusement lui aussi, clairsemé de crevasses, au moment où tout le reste des accès est devenu problématique. Pire, la conduite est devenue un périlleux exercice pour les conducteurs qui ont fini par perdre patience même si les responsables communaux brandissent toujours les arguments financiers. Pour autant, rien ne peut justifier cet état de fait si l’on considère que la commune de Bir El Djir a bénéficié, il y a peu, d’une cagnotte pour le revêtement de certains axes routiers. De quoi perdre les nerfs! A l’USTO, par exemple, du moins pour ce qui est de la partie qui relève de Bir El Djir, l’état des routes est calamiteux. A la cité des 1500 logements, à défaut d’asphalte, ce sont des cratères qui poussent à tout bout de champ. Le hic est que les habitants attendent le bitumage promis depuis au moins six ans. Ce calvaire est partagé par les habitants des cités Hosn El Djiwar et leurs voisins des 790 logements depuis une éternité, selon une formule empruntée à un automobiliste. «Prenez un taxi, dites-lui de vous conduire à l’intérieur de ces trois cités et vous êtes sûr d’entendre des choses que vous n’avez jamais entendues auparavant. Ceci pourrait se justifier par le fait que la circulation automobile à l’intérieur de ces cités est devenue tout simplement impossible. De l’autre côté du versant, notamment à Haï Essabah, certaines routes sont carrément à déconseiller. Récemment, un automobiliste était contraint de changer la suspension de sa voiture à cause de la dégradation de la chaussée, notamment le tronçon qui relie l’université USTO au giratoire de Haï Essanah.
Posté Le : 21/01/2007
Posté par : sofiane
Source : www.voix-oranie.com