Hadjer Kouidri, enseignante à l’Ecole supérieure du journalisme. Née en 1977 à Médéa, elle se découvre très tôt une vocation irréfragable pour l’écriture romanesque en langue arabe. Son roman Nawres Bacha a été couronné en 2012 du deuxième prix Tayeb-Salih, du nom de l’écrivain soudanais qui s’est éteint en 2009, considéré comme l’un des plus grands écrivains arabes aux côtés de Taha Hussein et Naguib Mahfouz. Nawres Bacha a pour cadre historique la Casbah de Mustapha Bacha dans lequel elle peint la vie des femmes hors de l’exotisme, établissant un parallèle avec les générations d’Algéroises d’aujourd’hui. Son premier roman est paru en 2008 sous le titre Je m’appelle Ozendja.
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Posté Le : 05/11/2014
Posté par : Slash
Source : http://www.feliv.dz