Il y a quelques années, Aïssa Khelladi a reconnu avoir été, jusqu'en 1988, officier à la Sécurité Militaire, les services secrets algériens. Il est ensuite passé au journalisme, sans transition avec un rôle du martyr, emprisonné par ses anciens collègues et défendu par Reporters Sans Frontières.
Exilé, il dirige depuis 1994, les éditions Marsa, à Paris.
Cet article est à compléter.
Posté Le : 05/11/2007
Posté par : nassima-v
Source : dzlit.free.fr