Au micro de la chaîne CBS, Bill Gates n'y est pas allé avec le dos de la cuillère à propos de la stratégie de son ancien bébé, Microsoft. Si le créateur de la société reconnaît tout le bien qu'a apporté Windows 8 et tout le mérite de Steve Ballmer, il n'est clairement pas satisfait de la façon dont Microsoft s'est inséré sur le marché de la mobilité. Et vu les prétentions de la firme, on peut comprendre la déception. Pour lui, il est plutôt douloureux de se savoir autre chose que leader d'un marché. "Nous n'avons pas manqué le tournant de la téléphonie, mais la façon dont nous l'avons abordée ne nous a pas permis de prendre la tête du marché" a-t-il affirmé, avant d'enfoncer le couteau par une cinglante conclusion : "C'est clairement une erreur".
On comprend ce qu'il veut dire par là : Microsoft ne se contente pas de la position d'un BlackBerry, ne peut pas être un éventuel troisième homme. D'ailleurs, c'est cette place que Microsoft tente de récupérer, n'étant même plus dans la course avec les deux premiers. Bill Gates aurait sûrement aimé voir un trio de tête avec son ex-entreprise au coude à coude avec Google et Apple. A l'heure actuelle, elle essaie plutôt de grapiller les miettes.
Bill Gates note la faiblesse de Microsoft : lui et Ballmer sont parfaitement conscients que la compagnie n'est pas arrivée sur le marché avec des innovations spectaculaires. Ils ont l'impression de ne pas être allés suffisamment loin, de ne pas avoir trouvé ce qui pouvait révolutionner la téléphonie.
Au micro de la chaîne CBS, Bill Gates n'y est pas allé avec le dos de la cuillère à propos de la stratégie de son ancien bébé, Microsoft. Si le créateur de la société reconnaît tout le bien qu'a apporté Windows 8 et tout le mérite de Steve Ballmer, il n'est clairement pas satisfait de la façon dont Microsoft s'est inséré sur le marché de la mobilité. Et vu les prétentions de la firme, on peut comprendre la déception. Pour lui, il est plutôt douloureux de se savoir autre chose que leader d'un marché. "Nous n'avons pas manqué le tournant de la téléphonie, mais la façon dont nous l'avons abordée ne nous a pas permis de prendre la tête du marché" a-t-il affirmé, avant d'enfoncer le couteau par une cinglante conclusion : "C'est clairement une erreur".
On comprend ce qu'il veut dire par là : Microsoft ne se contente pas de la position d'un BlackBerry, ne peut pas être un éventuel troisième homme. D'ailleurs, c'est cette place que Microsoft tente de récupérer, n'étant même plus dans la course avec les deux premiers. Bill Gates aurait sûrement aimé voir un trio de tête avec son ex-entreprise au coude à coude avec Google et Apple. A l'heure actuelle, elle essaie plutôt de grapiller les miettes.
Bill Gates note la faiblesse de Microsoft : lui et Ballmer sont parfaitement conscients que la compagnie n'est pas arrivée sur le marché avec des innovations spectaculaires. Ils ont l'impression de ne pas être allés suffisamment loin, de ne pas avoir trouvé ce qui pouvait révolutionner la téléphonie.
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Posté Le : 24/02/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com