Algérie

Bientôt le plus grand parc éolien d'Afrique



Bientôt le plus grand parc éolien d'Afrique
Environ 365 éoliennes, plantées sur 165 km2 dans un paysage lunaire, vont composer le plus grand parc éolien d'Afrique. Au nord du Kenya, dans la région du lac Turkana, entre les montagnes Kulal et Nyiro, le vent souffle à 11 mètres/seconde en moyenne.
La ferme est financée par un consortium de sociétés européennes et africaines «sans subvention, contrairement à l'Europe», tient à préciser Carlo Van Wageningen, président du consortium Lake Turkana Wind Power (LTWP) qui vient de signer avec le fournisseur public Kenya Power un contrat de vente sur 20 ans à 7,52 centimes d'euro le kw heure.
Il faut dire que les conditions sont optimales : «La vitesse et la régularité du vent au Turkana offrent des conditions optimales, meilleures même que celle des turbines en mer du Nord» assure Achim Steiner, directeur exécutif du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE). Résultat : un coût de production encore moins cher que l'hydroélectrique. Le plein régime est attendu pour la fin 2014, avec une production de 300 MW, soit près de 20% de la production d'électricité actuelle du Kenya. L'investissement sera de 585 millions d'euros pour la production et 142 de plus pour le transport.
L'Algérie a foré son premier puits
de gaz de schiste
C'est dans le bassin d'Ahnet, situé au sud d'In Salah, que la compagnie nationale Sonatrach vient de forer le premier puits de gaz de schiste du pays. «Nous venons d'entamer le forage du premier puits shale gas en Algérie, appelé Ahnet 1 qui va nous permettre d'approfondir davantage nos données sur nos réserves gazières non conventionnelles et d'établir les techniques de forage adéquates à ce type d'extraction de gaz» a déclaré le 6 juin dernier Kamel-Eddine Chikhi, directeur central des associations de Sonatrach en marge de la Conférence mondiale du gaz à Kuala Lumpur. «Ce sont des études croisées qui ont permis au groupe algérien d'avoir une meilleure estimation du potentiel du sous-sol qui sont très encourageantes» a-t-il précisé.
Sonatrach estime que plus de 2.000 milliards de m3 de gaz peuvent être extraits du sous sol. «Les résultats préliminaires de notre évaluation du potentiel de gaz non conventionnel et notamment de gaz de schistes indiquent que le potentiel est au moins comparable aux plus importants gisements américains», avait déclaré Youcef Yousfi, ministre algérien de l'Energie en février dernier.
Environ 365 éoliennes, plantées sur 165 km2 dans un paysage lunaire, vont composer le plus grand parc éolien d'Afrique. Au nord du Kenya, dans la région du lac Turkana, entre les montagnes Kulal et Nyiro, le vent souffle à 11 mètres/seconde en moyenne.
La ferme est financée par un consortium de sociétés européennes et africaines «sans subvention, contrairement à l'Europe», tient à préciser Carlo Van Wageningen, président du consortium Lake Turkana Wind Power (LTWP) qui vient de signer avec le fournisseur public Kenya Power un contrat de vente sur 20 ans à 7,52 centimes d'euro le kw heure.
Il faut dire que les conditions sont optimales : «La vitesse et la régularité du vent au Turkana offrent des conditions optimales, meilleures même que celle des turbines en mer du Nord» assure Achim Steiner, directeur exécutif du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE). Résultat : un coût de production encore moins cher que l'hydroélectrique. Le plein régime est attendu pour la fin 2014, avec une production de 300 MW, soit près de 20% de la production d'électricité actuelle du Kenya. L'investissement sera de 585 millions d'euros pour la production et 142 de plus pour le transport.
L'Algérie a foré son premier puits
de gaz de schiste
C'est dans le bassin d'Ahnet, situé au sud d'In Salah, que la compagnie nationale Sonatrach vient de forer le premier puits de gaz de schiste du pays. «Nous venons d'entamer le forage du premier puits shale gas en Algérie, appelé Ahnet 1 qui va nous permettre d'approfondir davantage nos données sur nos réserves gazières non conventionnelles et d'établir les techniques de forage adéquates à ce type d'extraction de gaz» a déclaré le 6 juin dernier Kamel-Eddine Chikhi, directeur central des associations de Sonatrach en marge de la Conférence mondiale du gaz à Kuala Lumpur. «Ce sont des études croisées qui ont permis au groupe algérien d'avoir une meilleure estimation du potentiel du sous-sol qui sont très encourageantes» a-t-il précisé.
Sonatrach estime que plus de 2.000 milliards de m3 de gaz peuvent être extraits du sous sol. «Les résultats préliminaires de notre évaluation du potentiel de gaz non conventionnel et notamment de gaz de schistes indiquent que le potentiel est au moins comparable aux plus importants gisements américains», avait déclaré Youcef Yousfi, ministre algérien de l'Energie en février dernier.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)