Algérie

« Beyrouth intersections » de Lara Saba


« Beyrouth intersections » de Lara Saba
Ce film choral évoque la vie de Libanais, à Beyrouth, qui appartiennent certains aux classes les plus aisées, d'autres aux milieux les plus défavorisés. On suit en particulier les parcours de trois personnages qui, bien qu'évoluant dans des univers très différents, vont voir leurs existences entrer en collision.Ce film choral évoque la vie de Libanais, à Beyrouth, qui appartiennent certains aux classes les plus aisées, d'autres aux milieux les plus défavorisés. On suit en particulier les parcours de trois personnages qui, bien qu'évoluant dans des univers très différents, vont voir leurs existences entrer en collision.Au sens propre du terme, d'ailleurs, puisqu'on assiste dès le début du film à un terrible accident de voiture au cours duquel Nour perd ses parents. Celui-ci a été provoqué par le mari de la belle India, laquelle possède tout ce dont une femme peut rêver excepté une descendance et qui, enfin enceinte, va bientôt perdre son futur enfant à la suite d'une agression provoquée par Marwan, un jeune de 12 ans qui vient de fuir la maison de sa mère, une prostituée alcoolique.Nour, India et Marwan, trois figures du désespoir dans le Beyrouth d'aujourd'hui, croquées par une réalisatrice jusqu'ici uniquement documentariste, qui estime que « quand on a envie de faire un film, c'est qu'on est en désaccord profond avec le monde ». Etant donné ce qu'elle montre à l'écran, non sans talent même si c'est de façon un peu trop appuyée, on la croit sans discuter.Au sens propre du terme, d'ailleurs, puisqu'on assiste dès le début du film à un terrible accident de voiture au cours duquel Nour perd ses parents. Celui-ci a été provoqué par le mari de la belle India, laquelle possède tout ce dont une femme peut rêver excepté une descendance et qui, enfin enceinte, va bientôt perdre son futur enfant à la suite d'une agression provoquée par Marwan, un jeune de 12 ans qui vient de fuir la maison de sa mère, une prostituée alcoolique.Nour, India et Marwan, trois figures du désespoir dans le Beyrouth d'aujourd'hui, croquées par une réalisatrice jusqu'ici uniquement documentariste, qui estime que « quand on a envie de faire un film, c'est qu'on est en désaccord profond avec le monde ». Etant donné ce qu'elle montre à l'écran, non sans talent même si c'est de façon un peu trop appuyée, on la croit sans discuter.


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