Algérie

Berlusconi n'abandonne pas la partie Italie, après avoir déclaré qu'il ne se représenterait pas



Berlusconi n'abandonne pas la partie                                    Italie, après avoir déclaré qu'il ne se représenterait pas
Au lendemain de sa démission, l'ex-président du Conseil italien se dit "prêt à reprendre le chemin du gouvernement".
Le Cavaliere a expliqué avoir perdu la majorité absolue au Parlement mardi, car "à la fin a prévalu au Parlement la logique des petits chantages et des transfuges qui sont le vieux vice de la politique italienne". M. Berlusconi s'en prend au président de la Chambre des députés, Gianfranco Fini, son ex-allié passé à l'opposition il y a un an, dont "la fronde" a été "le péché originel" qui a miné le parcours de la législature, estime-t-il.
Cependant, M. Berlusconi défend son bilan en affirmant que l'Italie "donne déjà énormément en termes de rigueur économique et qu'elle a accepté avec un grand sens des responsabilités des sacrifices imposés par les plans d'austérité adoptés en juillet et en août". "Un pays qui, en ajoutant à la dette publique l'épargne privée, se situe en termes de solidité à la seconde place en Europe, immédiatement derrière l'Allemagne" et compte un taux de chômage "inférieur de deux points à la moyenne européenne".
Etranglée par une dette abyssale (1.900 milliards d'euros, 120% du PIB), l'Italie a été placée sous surveillance du Fonds monétaire international, de l'Union européenne et de la Banque centrale européenne.
Au lendemain de sa démission, l'ex-président du Conseil italien se dit "prêt à reprendre le chemin du gouvernement".
Le Cavaliere a expliqué avoir perdu la majorité absolue au Parlement mardi, car "à la fin a prévalu au Parlement la logique des petits chantages et des transfuges qui sont le vieux vice de la politique italienne". M. Berlusconi s'en prend au président de la Chambre des députés, Gianfranco Fini, son ex-allié passé à l'opposition il y a un an, dont "la fronde" a été "le péché originel" qui a miné le parcours de la législature, estime-t-il.
Cependant, M. Berlusconi défend son bilan en affirmant que l'Italie "donne déjà énormément en termes de rigueur économique et qu'elle a accepté avec un grand sens des responsabilités des sacrifices imposés par les plans d'austérité adoptés en juillet et en août". "Un pays qui, en ajoutant à la dette publique l'épargne privée, se situe en termes de solidité à la seconde place en Europe, immédiatement derrière l'Allemagne" et compte un taux de chômage "inférieur de deux points à la moyenne européenne".
Etranglée par une dette abyssale (1.900 milliards d'euros, 120% du PIB), l'Italie a été placée sous surveillance du Fonds monétaire international, de l'Union européenne et de la Banque centrale européenne.


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