Depuis quelques jours, le président Bentoubal s'est engagé dans des travaux d'Hercule : négociations avec joueurs et entraîneurs, régularisation de dossiers, un rythme de travail infernal qui bouffe beaucoup de temps du président du club qui, on peut le dire, règle l'héritage que lui a «légué» l'ancienne direction, à commencer par l'affaire Garzitto.Pour rappel, ce dernier avait paraphé un contrat de deux saisons avec le CSC et a été démis de ses fonctions en cours de saison.Ce dernier a fait savoir au club qu'il compte aller jusqu'au bout de cette affaire qui risque, si elle tourne mal pour le CSC, de coûter cher au vieux club constantinois qui serait alors contraint de débourser 60 millions de dinars. Selon des sources proches du dossier, les négociations seraient dans l'impasse suite à la proposition formulée par le CSC qui consiste à verser 6 mois de salaire à l'ex-coach qui a, bien sûr, rejeté cette proposition.Le président Bentoubal fait face à un autre problème, toujours d'ordre financier. Il s'agit de celui des salaires des joueurs qui réclament le versement de deux à trois mensualités. Sur le plan de la préparation de la reprise du championnat, le staff Simondi-Medjahed axe son travail sur l'aspect physique et les matchs amicaux. Jeudi, le CSC a disputé une rencontre (amicale) face au MSPBatna, au stade Hamlaoui, qui s'est soldée par un nul (2-2). Un autre match d'application est programmé demain face au MOB à Béjaïa.
Posté Le : 12/04/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Abderrahmane
Source : www.elwatan.com