D'une insolence étrange de la part d'un chef de parti politique, jusque là - non identifiable sur le terrain, à l'exemple d'une autre soixante de partis budgétivores qui puisent dans les caisses de l'Etat providence, et sans rentrer dans les détails régionalistes qui fâchent du style tribale et autres affinités saugrenues de Benhamou, qui n'arrive toujours pas a joindre les deux bouts de «l?honnêteté» dans son parcours de chef de file lors de ses différentes sorties dans des chaînes privées de télévision qui font dans la sensation et ce, loin des citoyens électeurs sur le terrain qui ne savent que rien,d'un parti sorti du «néant».En effet, le président du parti El Izza Ouel Karama ne fait plus l'unanimité, et ce, dans son propre fief, dans une région qui se situe dans la daïra de Maghnia, parmi les grands politiciens de la scène politique algérienne qui se compte sur les bouts des doigts. Avant d'entamer son discours politico-politicien, Benhamou dans son dialectique propre a lui, tenu politiquement à se hisser en haut de la liste par tous les moyens et ce, à tout prix pour se faire une place sur la scène politique. Lee président du parti Izza Oul Karama, souligne : «La place du Front islamique du salut doit être enrôlé à travers les différentes démarches pour barrer la route aux diverses démarches de récupérations politiciennes qui sévissent sur la scène politique algérienne.» Pour Benhamou, en usant du stratagème de l'éventail de la peur, à l'exemple de ceux qui sont actuellement au pouvoir, fera en sorte d'avertir en ces termes : «La stabilité et la pérennité du pouvoir, ou plutôt de l'Etat algérien doivent être actionnaire à l'alliance de la paix sociale, c'est à dire de la concorde civile». Dans ce contexte hideux d'un discours regionaliste, digne des années de braise, Benhamou, chef d'un parti politique qui se mélange à des partis politiques extrémistes, sans effet, et sorti du néant, pour placer un FIS criminel qui a fait agenouiller le pays durant plus décennie, n'arrive même plus à convaincre les plus pessimistes de ce pays. Des reflexes anti développementalistes, plus exactement populistes de Benhamou pour se propulser en haut de la liste, où il serait plus judicieux pour le chef de file de séparer le bon grain de l'ivraie par nettoyer le pas de porte de son parti politique dans la wilaya de Mascara et ce, à l'exemple de quelques communes.
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Posté Le : 15/02/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Manseur Si Mohamed
Source : www.lnr-dz.com