Algérie

Benghebrit insiste sur la "formation des inspecteurs"



Benghebrit insiste sur la
La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a mis l'accent, hier à Alger, sur l'importance accordée par son secteur à la formation des inspecteurs de l'éducation nationale dans le cadre de la démarche d'évaluation pédagogique et professionnelle pour la réforme du système éducatif.La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a mis l'accent, hier à Alger, sur l'importance accordée par son secteur à la formation des inspecteurs de l'éducation nationale dans le cadre de la démarche d'évaluation pédagogique et professionnelle pour la réforme du système éducatif.Présidant le lancement de la session de formation au profit de 418 inspecteurs à l'Institut national de formation et de perfectionnement des personnels de l'éducation d'El Harrach,Mme Benghebrit a précisé que le programme de son secteur relatif à la formation des inspecteurs de l'éducation nationale "repose en premier lieu sur une formation de qualité au profit des inspecteurs en prévision de leur implication dans la concrétisation des objectifs de la réforme". Concernant la session de formation qui devrait se poursuivre jusqu'à l'été prochain, la ministre a indiqué qu'elle s'articulait autour de la stratégie du ministère dans le domaine de la formation, notamment en ce qui concerne la question de gouvernance.Cette dernière "revêt une importance particulière en matière de gestion du secteur au double plan local et central dans le but de remédier aux dysfonctionnements", a-t-elle ajouté. La première responsable du secteur a appelé les inspecteurs "à contribuer à l'aboutissement de cette formation en vue d'accéder à la qualité". Répondant à une question sur les "troubles" qui caractérisent le secteur de l'éducation ces dernières semaines, la ministre a déploré les agissements "irresponsables" de certains enseignants qui font la grève, d'une part, et assurent des cours en privé, d'autre part."Les évènements qui marquent le secteur dévoilent une volonté de privatiser les secteur en encourageant les élèves à bénéficier de cours particuliers et à s'orienter vers les écoles privées", a indiqué la ministre. Selon Mme Benghebrit, la méconnaissance des lois régissant l'éducation en Algérie est également à l'origine de ces troubles. La ministre a déploré par ailleurs la "couverture disproportionnée de la grève par certains médias".Présidant le lancement de la session de formation au profit de 418 inspecteurs à l'Institut national de formation et de perfectionnement des personnels de l'éducation d'El Harrach,Mme Benghebrit a précisé que le programme de son secteur relatif à la formation des inspecteurs de l'éducation nationale "repose en premier lieu sur une formation de qualité au profit des inspecteurs en prévision de leur implication dans la concrétisation des objectifs de la réforme". Concernant la session de formation qui devrait se poursuivre jusqu'à l'été prochain, la ministre a indiqué qu'elle s'articulait autour de la stratégie du ministère dans le domaine de la formation, notamment en ce qui concerne la question de gouvernance.Cette dernière "revêt une importance particulière en matière de gestion du secteur au double plan local et central dans le but de remédier aux dysfonctionnements", a-t-elle ajouté. La première responsable du secteur a appelé les inspecteurs "à contribuer à l'aboutissement de cette formation en vue d'accéder à la qualité". Répondant à une question sur les "troubles" qui caractérisent le secteur de l'éducation ces dernières semaines, la ministre a déploré les agissements "irresponsables" de certains enseignants qui font la grève, d'une part, et assurent des cours en privé, d'autre part."Les évènements qui marquent le secteur dévoilent une volonté de privatiser les secteur en encourageant les élèves à bénéficier de cours particuliers et à s'orienter vers les écoles privées", a indiqué la ministre. Selon Mme Benghebrit, la méconnaissance des lois régissant l'éducation en Algérie est également à l'origine de ces troubles. La ministre a déploré par ailleurs la "couverture disproportionnée de la grève par certains médias".




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