Algérie

Benflis et Barakat se démarquent


Benflis et Barakat se démarquent
Les incidents survenus samedi dernier à Béjaïa suite à une émeute déclenchée par les partisans de l'opposition au 4e mandat de Bouteflika a fait réagir le candidat Ali Benflis et le mouvement Barakat. Le premier s'est dépêché par le bais d'un communiqué où il a tenu à apporter des précisions sur ces incidents.Les incidents survenus samedi dernier à Béjaïa suite à une émeute déclenchée par les partisans de l'opposition au 4e mandat de Bouteflika a fait réagir le candidat Ali Benflis et le mouvement Barakat. Le premier s'est dépêché par le bais d'un communiqué où il a tenu à apporter des précisions sur ces incidents.« Je regrette que cette campagne se déroule dans ce climat tendu. Je dois dire que rien n'a été fait jusque-là pour que la campagne se déroule dans la sérénité et l'apaisement », en indiquant qu'il faut « surtout se garder de lancer des accusations infondées et des propos irresponsables qui ne sont, en fait, qu'une fuite en avant ». Hier, le candidat à l'élection qui se trouvait à In Salah (Tamanrasset) a appelé « au respect de la liberté d'expression en toute circonstance ».Ali Benflis a souhaité que la fin de la compétition électorale « fasse prévaloir le débat d'idées et la confrontation de programmes afin que le peuple puisse librement et sereinement choisir le projet qu'il juge à même de répondre à ses inspirations ». Sur sa lancée, l'ex-chef de gouvernement s'est « interdit de répondre aux accusations graves dont j'ai fait l'objet dans certains supports médiatiques en leur opposant une démarche constructive et en étant toujours une force de proposition ».Quant au mouvement Barakat, que certaines voix rendent responsable des derniers incidents, il a fait vite de se démarquer de cette émeute où il dégage « toute responsabilité quant aux incidents ayant empêché la tenue du meeting d'Abdelmalek Sellal en faveur du président-candidatAbdelaziz Bouteflika ».Dans un communiqué rendu public, le mouvement Barakat « appelle tous les citoyens Algériens à agir pacifiquement pour le changement du système aux ordres d'une caste finissante et d'avoir de la retenue, car il s'agit de l'Algérie ». Le mouvement qui a animé à plusieurs reprises des sit-in en se prononçant contre le 4e mandat de Bouteflika n'a pas digéré qu'on le culpabilise dans cette affaire. Ce dernier accuse ouvertement le pouvoir en place.« Nous condamnons toute violence d'où qu'elle vienne et nous tenons pour seul responsable le pouvoir en place ». Ce mouvement rappelle son caractère pacifique dans toute démarche et souligne que la campagne électorale actuelle « ne figure aucunement dans ses préoccupations, car il s'inscrit résolument en perspective au-delà de ces joutes pour un changement effectif du système ».« Nous condamnons toute violence d'où qu'elle vienne et nous tenons pour seul responsable le pouvoir en place », souligne-t-il. Il est à rappeler que la campagne électorale a vu nombre des dérapages et des incidents dans des villes où spécialement des candidats sont sifflés et hués par une population en colère. C'est le cas de le dire pour le staff de Sellal qui a annulé à plusieurs reprises des meetings soit à défaut de présence de citoyens ou pour éviter les affrontements avec des franges de populations pas acquise à l'élection.« Je regrette que cette campagne se déroule dans ce climat tendu. Je dois dire que rien n'a été fait jusque-là pour que la campagne se déroule dans la sérénité et l'apaisement », en indiquant qu'il faut « surtout se garder de lancer des accusations infondées et des propos irresponsables qui ne sont, en fait, qu'une fuite en avant ». Hier, le candidat à l'élection qui se trouvait à In Salah (Tamanrasset) a appelé « au respect de la liberté d'expression en toute circonstance ».Ali Benflis a souhaité que la fin de la compétition électorale « fasse prévaloir le débat d'idées et la confrontation de programmes afin que le peuple puisse librement et sereinement choisir le projet qu'il juge à même de répondre à ses inspirations ». Sur sa lancée, l'ex-chef de gouvernement s'est « interdit de répondre aux accusations graves dont j'ai fait l'objet dans certains supports médiatiques en leur opposant une démarche constructive et en étant toujours une force de proposition ».Quant au mouvement Barakat, que certaines voix rendent responsable des derniers incidents, il a fait vite de se démarquer de cette émeute où il dégage « toute responsabilité quant aux incidents ayant empêché la tenue du meeting d'Abdelmalek Sellal en faveur du président-candidatAbdelaziz Bouteflika ».Dans un communiqué rendu public, le mouvement Barakat « appelle tous les citoyens Algériens à agir pacifiquement pour le changement du système aux ordres d'une caste finissante et d'avoir de la retenue, car il s'agit de l'Algérie ». Le mouvement qui a animé à plusieurs reprises des sit-in en se prononçant contre le 4e mandat de Bouteflika n'a pas digéré qu'on le culpabilise dans cette affaire. Ce dernier accuse ouvertement le pouvoir en place.« Nous condamnons toute violence d'où qu'elle vienne et nous tenons pour seul responsable le pouvoir en place ». Ce mouvement rappelle son caractère pacifique dans toute démarche et souligne que la campagne électorale actuelle « ne figure aucunement dans ses préoccupations, car il s'inscrit résolument en perspective au-delà de ces joutes pour un changement effectif du système ».« Nous condamnons toute violence d'où qu'elle vienne et nous tenons pour seul responsable le pouvoir en place », souligne-t-il. Il est à rappeler que la campagne électorale a vu nombre des dérapages et des incidents dans des villes où spécialement des candidats sont sifflés et hués par une population en colère. C'est le cas de le dire pour le staff de Sellal qui a annulé à plusieurs reprises des meetings soit à défaut de présence de citoyens ou pour éviter les affrontements avec des franges de populations pas acquise à l'élection.


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