Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a estimé que l'entrée en service en 2014 d'un nombre "important de marchés contribuera grandement à la stabilité des prix des produits alimentaires de large consommation et à leur disponibilité durant le mois de ramadhan prochain".Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a estimé que l'entrée en service en 2014 d'un nombre "important de marchés contribuera grandement à la stabilité des prix des produits alimentaires de large consommation et à leur disponibilité durant le mois de ramadhan prochain".L'entrée en service d'un millier de marchés de proximité et couverts à travers le territoire national de 2012 à 2014 permettra de garantir la stabilité des prix et la disponibilité des produits alimentaires au cours du mois de ramadhan", a en effet déclaré Benbada à la presse en marge de l'ouverture de la 12e édition du salon international de l'agroalimentaire (Djazagro 2014)."Nous jugerons de l'efficacité de ces nouvelles structures commerciales en tenant compte de leur impact sur les prix des produits de large consommation et leur disponibilité", a-t-il précisé.Depuis 2012, l'Etat a dégagé 14 milliards de dinars au profit des collectivités locales et 10 milliards DA au profit du secteur du commerce pour la réalisation de marchés couverts disposant des conditions nécessaires à l'exercice des activités commerciales.Benbada a affirmé que le ministère se prépare, depuis le mois de décembre 2013, pour le mois de ramadhan afin d'assurer la disponibilité des produits, relevant dans le même temps l'impossibilité de garantir la stabilité des prix durant la première semaine du mois de ramadhan en raison de la forte demande.Généralement les marchés algériens connaissent durant le mois de ramadhan une demande grandissante des produits alimentaires de large consommation, notamment les fruits, les légumes et les viandes, ce qui influe sur les prix.Pour l'Union des commerçants, la hausse des prix est due aux spéculations qui s'accentuent avec la hausse de la demande et l'absence d'organisation au niveau des marchés de gros.Concernant le lait subventionné (25 DA/litre), Benbada a assuré que ce produit est "actuellement disponible sur le marché et que le problème demeure posé au niveau de certaines laiteries privées qui trouvent encore des difficultés à s'approvisionner en matière première".Benbada a souligné que le gouvernement est déterminé à développer la filière lait pour la production locale et réduire la dépendance aux produits importés à travers le soutien et l'accompagnement des 2013, la poudre de lait a bénéficié d'une subvention de l'Etat d'une valeur de 30 milliards DA contre 26 milliards DA en 2012 et 24,5 milliards. Le ministre a affirmé, par ailleurs, que le secteur investira dans les prochaines années essentiellement dans la modernisation des opérations commerciales (chèques, cartes et transferts bancaires). Il a estimé que ces démarches contribueront de manière sensible à la protection de l'économie nationale confrontée à une importante évasion fiscale mais aussi à la protection du consommateur.Il a annoncé à cette occasion le lancement prochain du dispositif d'alerte pour la protection du consommateur précisant que ce dispositif d'information sera mis en place pour signaler toute infraction ou tout produit non conforme découvert sur le marché. "Le dispositif est fin prêt et est actuellement à l'essai, a-t-il affirmé, soulignant qu'il permettra aux contrôleurs, aux associations de protection du consommateur et au consommateur lui-même de signaler toute infraction via Internet".Concernant la promotion des investissements hors hydrocarbures, Benbada a indiqué que l'offre exportable reste insuffisante, précisant que le gouvernement doit développer des secteurs et les orienter vers l'exportation.Les exportations hors hydrocarbures demeurent "faibles" malgré une évolution de plus de 15 % durant les trois premiers mois de cette année pour une valeur globale de 725 millions de dollars, selon les Douanes.L'entrée en service d'un millier de marchés de proximité et couverts à travers le territoire national de 2012 à 2014 permettra de garantir la stabilité des prix et la disponibilité des produits alimentaires au cours du mois de ramadhan", a en effet déclaré Benbada à la presse en marge de l'ouverture de la 12e édition du salon international de l'agroalimentaire (Djazagro 2014)."Nous jugerons de l'efficacité de ces nouvelles structures commerciales en tenant compte de leur impact sur les prix des produits de large consommation et leur disponibilité", a-t-il précisé.Depuis 2012, l'Etat a dégagé 14 milliards de dinars au profit des collectivités locales et 10 milliards DA au profit du secteur du commerce pour la réalisation de marchés couverts disposant des conditions nécessaires à l'exercice des activités commerciales.Benbada a affirmé que le ministère se prépare, depuis le mois de décembre 2013, pour le mois de ramadhan afin d'assurer la disponibilité des produits, relevant dans le même temps l'impossibilité de garantir la stabilité des prix durant la première semaine du mois de ramadhan en raison de la forte demande.Généralement les marchés algériens connaissent durant le mois de ramadhan une demande grandissante des produits alimentaires de large consommation, notamment les fruits, les légumes et les viandes, ce qui influe sur les prix.Pour l'Union des commerçants, la hausse des prix est due aux spéculations qui s'accentuent avec la hausse de la demande et l'absence d'organisation au niveau des marchés de gros.Concernant le lait subventionné (25 DA/litre), Benbada a assuré que ce produit est "actuellement disponible sur le marché et que le problème demeure posé au niveau de certaines laiteries privées qui trouvent encore des difficultés à s'approvisionner en matière première".Benbada a souligné que le gouvernement est déterminé à développer la filière lait pour la production locale et réduire la dépendance aux produits importés à travers le soutien et l'accompagnement des 2013, la poudre de lait a bénéficié d'une subvention de l'Etat d'une valeur de 30 milliards DA contre 26 milliards DA en 2012 et 24,5 milliards. Le ministre a affirmé, par ailleurs, que le secteur investira dans les prochaines années essentiellement dans la modernisation des opérations commerciales (chèques, cartes et transferts bancaires). Il a estimé que ces démarches contribueront de manière sensible à la protection de l'économie nationale confrontée à une importante évasion fiscale mais aussi à la protection du consommateur.Il a annoncé à cette occasion le lancement prochain du dispositif d'alerte pour la protection du consommateur précisant que ce dispositif d'information sera mis en place pour signaler toute infraction ou tout produit non conforme découvert sur le marché. "Le dispositif est fin prêt et est actuellement à l'essai, a-t-il affirmé, soulignant qu'il permettra aux contrôleurs, aux associations de protection du consommateur et au consommateur lui-même de signaler toute infraction via Internet".Concernant la promotion des investissements hors hydrocarbures, Benbada a indiqué que l'offre exportable reste insuffisante, précisant que le gouvernement doit développer des secteurs et les orienter vers l'exportation.Les exportations hors hydrocarbures demeurent "faibles" malgré une évolution de plus de 15 % durant les trois premiers mois de cette année pour une valeur globale de 725 millions de dollars, selon les Douanes.
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Posté Le : 23/04/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Riad El Hadi
Source : www.lemidi-dz.com