La réunion préparatoire qui s'est tenue en fin de semaine était censée garantir le bon déroulement de la session ordinaire du comité central. Le SG du FLN s'étant attelé à mettre les dernières retouches avant le jour «J» un jour décisif où Abdelaziz Belkhadem doit jouer son poste de secrétaire général. Il avait été question d'un vote de défiance pour le SG du vieux parti accepté un court instant, puis sentant le roussi s'était de suite rétracté. Les travaux du comité central qui étaient programmés à l'hôtel Riadh sous un black-out total ont connu des couacs musclés. Le premier point avant même la lecture de l'ordre du jour était le vote pour ou contre le maintien de Belkhadem à la tête du FLN, un vote que Belkhadem exigeait à main levée alors que ses opposants exigeaient le bulletin secret. Les contestataires hostiles au maintien de Belkhadem à la tête du parti n'ont pas pu accéder à la salle de conférences et ont observé un sit-in avec des pancartes où le mot devenu à la mode depuis les révolutions arabes "dégage" étaient portées à bout de bras. La crise s'est bien installée malgré le comité des sages qui n'a pas réussi à faire fléchir durant trois heures les deux antagonistes malgré les multiples contacts entrepris. Aucun signe d'apaisement ne pointe à l'horizon , l'heure est plutôt à l'affrontement. Bien qu'il ait été empêché de monter à la tribune et avec tout ce charivari autour de sa destitution, Belkhadem fait de la résistance et ne tient pas du tout à remettre en jeu son mandat de secrétaire général à la tête du FLN. La bataille de procédures va commencer. Quel sera le mode de vote adopté pour trancher les questions ou décisions prises ' Alors Belkhadem vit-il ses derniers moments à la tête du doyen des partis, ou va-t-il à la faveur d'un coup de prestidigitation s'éterniser au gouvernail du FLN ' Pour l'heure, le bras de fer est bel et bien engagé en attendant un arbitrage qui lui, sera sans appel.
La réunion préparatoire qui s'est tenue en fin de semaine était censée garantir le bon déroulement de la session ordinaire du comité central. Le SG du FLN s'étant attelé à mettre les dernières retouches avant le jour «J» un jour décisif où Abdelaziz Belkhadem doit jouer son poste de secrétaire général. Il avait été question d'un vote de défiance pour le SG du vieux parti accepté un court instant, puis sentant le roussi s'était de suite rétracté. Les travaux du comité central qui étaient programmés à l'hôtel Riadh sous un black-out total ont connu des couacs musclés. Le premier point avant même la lecture de l'ordre du jour était le vote pour ou contre le maintien de Belkhadem à la tête du FLN, un vote que Belkhadem exigeait à main levée alors que ses opposants exigeaient le bulletin secret. Les contestataires hostiles au maintien de Belkhadem à la tête du parti n'ont pas pu accéder à la salle de conférences et ont observé un sit-in avec des pancartes où le mot devenu à la mode depuis les révolutions arabes "dégage" étaient portées à bout de bras. La crise s'est bien installée malgré le comité des sages qui n'a pas réussi à faire fléchir durant trois heures les deux antagonistes malgré les multiples contacts entrepris. Aucun signe d'apaisement ne pointe à l'horizon , l'heure est plutôt à l'affrontement. Bien qu'il ait été empêché de monter à la tribune et avec tout ce charivari autour de sa destitution, Belkhadem fait de la résistance et ne tient pas du tout à remettre en jeu son mandat de secrétaire général à la tête du FLN. La bataille de procédures va commencer. Quel sera le mode de vote adopté pour trancher les questions ou décisions prises ' Alors Belkhadem vit-il ses derniers moments à la tête du doyen des partis, ou va-t-il à la faveur d'un coup de prestidigitation s'éterniser au gouvernail du FLN ' Pour l'heure, le bras de fer est bel et bien engagé en attendant un arbitrage qui lui, sera sans appel.
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Posté Le : 16/06/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Soraya Hakim
Source : www.lemidi-dz.com