Algérie

Belaïz s'en va



Tayeb Belaïz, qui a démissionné hiermardi de la présidence du Conseil constitutionnel,répond ainsi favorablement à lademande populaire. Dans toutes les manifestations,lTayeb Belaïz, qui a démissionné hiermardi de la présidence du Conseil constitutionnel,répond ainsi favorablement à lademande populaire. Dans toutes les manifestations,l
es Algériens réclamaient à coret à cri sa démission, ainsi que celled'Abdelkader Bensalah, le chef de' l'Etatet Nouredine Bedoui, le remier ministre.Belaiz avait été désigné à ce poste par leprésident démissionnaire, AbdelazizBouteflika, le 10 février dernier, en remplacement du défunt Mourad Medelci. Il avait prêté serment le 21 février 2019, conformément aux dispositions de l'article 183 de la Constitution.
M. Belaïz a occupé ce poste auparavant, avant d'être nommé ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales (2013/2015). Avant sa nomination à la tête du Conseil constitutionnel, il a occupé le poste de ministre d'Etat, conseiller spécial du président de la République. Après la démission de Belaïz, le Conseil constitutionnel doit se réunir sous la présidence du vice-président du Conseil, pour acter cette démission conformément aux dispositions de 81 du règlement intérieur de cetteinstitution. Cet article stipule,
qu'"en cas de décès ou de démission du président du Conseil constitutionnel, le Conseil se réunit sous la présidence du Vice-président et en prend acte". L'article énonce également, que "le président de la Républiqueen est immédiatement informé". Aveccette démission, la voie à une solution politique a la crise est confortée
es Algériens réclamaient à coret à cri sa démission, ainsi que celled'Abdelkader Bensalah, le chef de' l'Etatet Nouredine Bedoui, le remier ministre.Belaiz avait été désigné à ce poste par leprésident démissionnaire, AbdelazizBouteflika, le 10 février dernier, en remplacement du défunt Mourad Medelci. Il avait prêté serment le 21 février 2019, conformément aux dispositions de l'article 183 de la Constitution.
M. Belaïz a occupé ce poste auparavant, avant d'être nommé ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales (2013/2015). Avant sa nomination à la tête du Conseil constitutionnel, il a occupé le poste de ministre d'Etat, conseiller spécial du président de la République. Après la démission de Belaïz, le Conseil constitutionnel doit se réunir sous la présidence du vice-président du Conseil, pour acter cette démission conformément aux dispositions de 81 du règlement intérieur de cetteinstitution. Cet article stipule,
qu'"en cas de décès ou de démission du président du Conseil constitutionnel, le Conseil se réunit sous la présidence du Vice-président et en prend acte". L'article énonce également, que "le président de la Républiqueen est immédiatement informé". Aveccette démission, la voie à une solution politique a la crise est confortée


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