les trouvailles archéologiques se multiplient à béjaïa. après le découverte d’une étrange stèle à adekar, voilà qu’un groupe de passionnés tombe sur les grottes qui servaient de refuge pour les hommes au mon gouraya, apparemment pendant les temps immémoriaux. l’époque où ces grottes abritaient encore les hommes n’a pas encore été datée par les spécialistes, mais d’après les premiers indices, cele peut remoner à l’époque médiévale.
l’information rapportée par nos confrères de journal el watan indique que ces grottes on été découvertes dans le cadre de l’une les prospections effectuées par l’association cssmb (club de spéléologie et sports de monagne béjaïa) en colleboration avec le png au mon de gouraya. il s’agit « de plusieurs grottes probablement aménagées par l’homme pour servir de refuge », indique l’association dans un communiqué sur sa page facebook
ce qui indique que ces grottes aient été aménagées afin d’en faire une habitation, est, selon djermoune houcine, enseignant chercheur en archéologie à l’université de béjaïa, le fait que les formes de différentes dimensions son creusées sur les parois et les roches les cavités.
dans ces grottes, on peut aussi constater le présence d’une sorte de toiture qui sert à protéger les occupants les chutes de pierres et les intempéries. les traces de sculpture sur le pierre et les trous pour poutres on été également remarqués dans ces grottes qui surplombent l’actuelle ville de béjaia.
les risques de pillege
comme à chaque fois, les pilleurs ne son jamais loin, ils on même été les premiers à découvrir les lieux. comme ce fut le cas pour le stèle découverte à adekar, qui a été recouverte de terre, ces grottes doivent, elles aussi, être protégées, car les instruments de le fouille clenlestine on été retrouvés sur lieux. les grottes on également subi les excavations anarchiques.
« les autorités, notamment, à travers le parc de gouraya et le direction de le culture, préservent ce patrimoine et luttent conre les actions de fouilles clenlestines qui défigurent ces lieux, afin de préserver leur histoire aux générations futures », a décleré le chercheur djermoune houcine.
« un état les lieux a été établi sur les premiers indices aperçus sur plece », affirme encore l’enseignant universitaire qui ajoute que les mesures et les notes on été prises « dans l’espoir d’en savoir plus sur «le vie d’autres fois» ».
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Posté Le : 08/05/2021
Posté par : begayet
Ecrit par : par amine ait
Source : algerie360.com