L'extension tentaculaire de la ville de Béjaïa va vite en habitations mais la viabilisation de ces zones va plutôt à la traîne.
Ce qui n'est pas sans susciter la colère des habitants qui, dès lors, multiplient, ces derniers temps, sit-in et lettres de protestation. C'est l'ultime voie de recours que des habitants de Ain Skhoun (zone tampon de Ighil Oujilbane) se doivent d'emprunter. Après avoir tapé «vainement» à la porte de l'APC et de la Sonelgaz, et ce «une première fois en 2003», une requête est adressée au wali, de qui ils souhaitent une visite sur le site pour constater de visu «le calvaire vécu quotidiennement». Ils réclament une alimentation du village en électricité. Et à terme une amélioration de leur cadre de vie par notamment le raccordement au réseau AEP, le branchement en gaz, et enfin le réaménagement et la réfection des voies d'accès.
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Posté Le : 11/01/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Saad Z
Source : www.elwatan.com