Algérie

Béchar, nouveau pôle national Production minière


Béchar, nouveau pôle national Production minière
L'exploitation du site minier de Ghar Djebilet dans la wilaya de Tindouf sera confiée à une société nationale en association avec un partenaire étranger éventuellement, a affirmé le ministre de l'Energie et des mines, Youcef Yousfi, en visite d'inspection dans la wilaya de Béchar.L'exploitation du site minier de Ghar Djebilet dans la wilaya de Tindouf sera confiée à une société nationale en association avec un partenaire étranger éventuellement, a affirmé le ministre de l'Energie et des mines, Youcef Yousfi, en visite d'inspection dans la wilaya de Béchar.
La société algérienne qui sera créée notamment par Sonatrach, Manadjim El Djazair (Manal), et d'autres entreprises de sidérurgie va, d'abord, étudier la possibilité d'exploiter ce site, a 't-il précisé. Plus tard, "s'il y a des partenaires qui veulent se joindre à cette société, ils seront les bienvenus", explique le ministre qui souhaite que la wilaya de Béchar se transforme en "un pôle de l'industrie minière dans la région du sud-ouest du pays".
A Béchar, Yousfi a annoncé la possibilité de la réouverture des mines de charbon. Les pouvoirs publics étudient actuellement la possibilité de rouvrir les mines de charbon qui se trouvent dans la wilaya de Bechar afin notamment de faire tourner une future centrale électrique dans la région, a indiqué dimanche Youcef Yousfi. "Nous étudions la possibilité de rouvrir les mines de charbon et d'avoir une centrale électrique qui fonctionnerait au charbon. Ceci permettrait de créer des emplois locaux et d'exploiter cette ressource naturelle", a déclaré Yousfi.
Cette possibilité "est au stade des études". "On va voir si c'est possible de produire du charbon et à quel coût", a-t-il ajouté. Pour cela, il est prévu, selon lui, de compléter et de mettre à jour les études faites jusqu'à présent en matière d'impacts socio-économiques mais aussi environnementaux sur la région. "Il y a un certain nombre de difficultés.
Nous allons donc compléter et mettre à jour les études faites sur cela et j'espère que nous arriverons à quelque chose de positif", indique Yousfi. Les mines de charbon de Béchar sont réparties sur trois bassins, dont celui de Kenadsa (30 km du chef-lieu) qui est le plus important avec des réserves potentielles de 142 millions de tonnes.
Evoquant, par ailleurs, les potentialités en hydrocarbures de la région de Béchar, M. Yousfi a fait savoir que des travaux récents d'exploration ont démontré que cette wilaya "peut être riche en hydrocarbures". "Il y a déjà une première découverte importante de gaz naturel à Tamzaya (avec un potentiel évalué à 150 milliards de mètres cubes) avec une quantité d'hydrocarbures liquides. Nous allons, donc, continuer l'exploration", assure Yousfi.
Il a, cependant, reconnu l'existence de difficultés techniques liées à l'exploitation de ce potentiel gazier constitué, essentiellement, de gaz compact qui nécessite une technologie spéciale pour son exploitation, selon les explications du ministre. "Il semblerait qu'il y ait des quantités assez intéressantes (de gaz) et nous allons tester les méthodes pour voir si on peut les produire. Ceci donne également une perspective très intéressante pour le développement des hydrocarbures dans la région", souligne le ministre.
La société algérienne qui sera créée notamment par Sonatrach, Manadjim El Djazair (Manal), et d'autres entreprises de sidérurgie va, d'abord, étudier la possibilité d'exploiter ce site, a 't-il précisé. Plus tard, "s'il y a des partenaires qui veulent se joindre à cette société, ils seront les bienvenus", explique le ministre qui souhaite que la wilaya de Béchar se transforme en "un pôle de l'industrie minière dans la région du sud-ouest du pays".
A Béchar, Yousfi a annoncé la possibilité de la réouverture des mines de charbon. Les pouvoirs publics étudient actuellement la possibilité de rouvrir les mines de charbon qui se trouvent dans la wilaya de Bechar afin notamment de faire tourner une future centrale électrique dans la région, a indiqué dimanche Youcef Yousfi. "Nous étudions la possibilité de rouvrir les mines de charbon et d'avoir une centrale électrique qui fonctionnerait au charbon. Ceci permettrait de créer des emplois locaux et d'exploiter cette ressource naturelle", a déclaré Yousfi.
Cette possibilité "est au stade des études". "On va voir si c'est possible de produire du charbon et à quel coût", a-t-il ajouté. Pour cela, il est prévu, selon lui, de compléter et de mettre à jour les études faites jusqu'à présent en matière d'impacts socio-économiques mais aussi environnementaux sur la région. "Il y a un certain nombre de difficultés.
Nous allons donc compléter et mettre à jour les études faites sur cela et j'espère que nous arriverons à quelque chose de positif", indique Yousfi. Les mines de charbon de Béchar sont réparties sur trois bassins, dont celui de Kenadsa (30 km du chef-lieu) qui est le plus important avec des réserves potentielles de 142 millions de tonnes.
Evoquant, par ailleurs, les potentialités en hydrocarbures de la région de Béchar, M. Yousfi a fait savoir que des travaux récents d'exploration ont démontré que cette wilaya "peut être riche en hydrocarbures". "Il y a déjà une première découverte importante de gaz naturel à Tamzaya (avec un potentiel évalué à 150 milliards de mètres cubes) avec une quantité d'hydrocarbures liquides. Nous allons, donc, continuer l'exploration", assure Yousfi.
Il a, cependant, reconnu l'existence de difficultés techniques liées à l'exploitation de ce potentiel gazier constitué, essentiellement, de gaz compact qui nécessite une technologie spéciale pour son exploitation, selon les explications du ministre. "Il semblerait qu'il y ait des quantités assez intéressantes (de gaz) et nous allons tester les méthodes pour voir si on peut les produire. Ceci donne également une perspective très intéressante pour le développement des hydrocarbures dans la région", souligne le ministre.
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