Alors qu'ailleurs on n'arrête pas le progrès, dans la ville de Constantine, on n'arrêtera jamais le bricolage.
Une pratique qui semble s'enraciner dans les m'urs de l'APC. Chaque jour, en fin de journée, un groupe d'ouvriers s'acharne à décaper le goudron, pourtant en bon état, pour le remplacer par du carrelage, dont on ne sait s'il tiendra durant la saison hivernale. Cette opération dont on ignore le montant qu'elle devra engloutir, ne manque de susciter l'étonnement des Constantinois qui savent pertinemment que ce trottoir n'a jamais connu une forte affluence piétonne.
Pourtant, les trottoirs qui se dégradent, ce n'est pas ça qui manque dans une ville rattrapée par les vieilles pratiques. Des citoyens continuent toujours de s'interroger sur l'origine des pavés inesthétiques dont ont été revêtues, de nuit, les allées Benboulaïd, dans les années 2000 ! La question qui se pose encore est la suivante : pourquoi l'APC a attendu la fin de son mandat pour engager ce type de travaux, et pourquoi précisément dans ce lieu très peu fréquenté '
Posté Le : 29/11/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : S A
Source : www.elwatan.com