Algérie

Baisse de la production d'huile d'olive



Baisse de la production d'huile d'olive
Dans la wilaya de Béjaïa, la campagne oléicole, qui a débuté en novembre dernier, s'annonce moins prometteuse que celle de l'année dernière, selon la Direction des services agricoles qui prévoit une collecte de l'ordre de 12 millions de litres d'huile d'olive, contre 16 millions précédemment.Dans la wilaya de Béjaïa, la campagne oléicole, qui a débuté en novembre dernier, s'annonce moins prometteuse que celle de l'année dernière, selon la Direction des services agricoles qui prévoit une collecte de l'ordre de 12 millions de litres d'huile d'olive, contre 16 millions précédemment.Selon l'APS, ces prévisions ont été établies au vu des résultats recueillis dans la région du Sahel et dans quelques zones de la vallée de la Soummam, où il a été obtenu, selon un dernier bilan, quelque 2 millions de litres sur un volume d'olives trituré de quelque 88.000 quintaux. Estimée à près de 11.000 hectares, la surface collectée représente près d'1/5e de la superficie totale du verger local, qui s'étend sur 49.000 hectares.La zone géographique traitée reste, cependant peu déterminante sur la performance globale, du fait qu'elle ne constitue pas un grand bassin oléicole à l'inverse de la haute vallée de la Soummam, à l'Ouest, qui non seulement regroupe la part prépondérante du verger, mais offre, aussi, les meilleurs rendements, a indiqué l'APS.En effet, si les rendements dans la zone sont en moyenne de quelque 22 litres par quintal d'olive traité, dans la zone ouest, où la cueillette a commencé tardivement, ceux-ci sont déjà bien plus importants, atteignant en certains endroits des pics de 32 litres par quintal "ce qui laisse augurer une récolte moyenne, peut-être au dessus des prévisions", souligne la même DSA.De par l'influence du caractère alternatif de cette culture rustique qui veut qu'à une bonne année succède presque toujours une moins bonne récolte, cette baisse prévisionnelle de la production s'explique surtout par le déficit et le stress hydrique qui ont accablé le verger en début d'été. En effet, les chaleurs de l'été ont eu un effet pervers sur la formation des fruits, a déploré la même direction. "L'olivier est un arbre qui s'acclimate parfaitement aux chaleurs.Mais lorsque le cumul devient important il en souffre", a expliqué a l'APS, Bouaziz Noui, directeur des services agricoles, qui relève tout de même que "l'apport des pluies d'automne a eu un effet positif sur le rendement des arbres et le sauvetage de la récolte". Bien qu'importante, cette baisse va influer de façon marginale sur le prix de cession de l'huile d'olive sur le marché, la plupart des huileries ayant déjà fixé le prix de leur prestation, ainsi que celui de la cession des premières fournées.Selon l'APS, ces prévisions ont été établies au vu des résultats recueillis dans la région du Sahel et dans quelques zones de la vallée de la Soummam, où il a été obtenu, selon un dernier bilan, quelque 2 millions de litres sur un volume d'olives trituré de quelque 88.000 quintaux. Estimée à près de 11.000 hectares, la surface collectée représente près d'1/5e de la superficie totale du verger local, qui s'étend sur 49.000 hectares.La zone géographique traitée reste, cependant peu déterminante sur la performance globale, du fait qu'elle ne constitue pas un grand bassin oléicole à l'inverse de la haute vallée de la Soummam, à l'Ouest, qui non seulement regroupe la part prépondérante du verger, mais offre, aussi, les meilleurs rendements, a indiqué l'APS.En effet, si les rendements dans la zone sont en moyenne de quelque 22 litres par quintal d'olive traité, dans la zone ouest, où la cueillette a commencé tardivement, ceux-ci sont déjà bien plus importants, atteignant en certains endroits des pics de 32 litres par quintal "ce qui laisse augurer une récolte moyenne, peut-être au dessus des prévisions", souligne la même DSA.De par l'influence du caractère alternatif de cette culture rustique qui veut qu'à une bonne année succède presque toujours une moins bonne récolte, cette baisse prévisionnelle de la production s'explique surtout par le déficit et le stress hydrique qui ont accablé le verger en début d'été. En effet, les chaleurs de l'été ont eu un effet pervers sur la formation des fruits, a déploré la même direction. "L'olivier est un arbre qui s'acclimate parfaitement aux chaleurs.Mais lorsque le cumul devient important il en souffre", a expliqué a l'APS, Bouaziz Noui, directeur des services agricoles, qui relève tout de même que "l'apport des pluies d'automne a eu un effet positif sur le rendement des arbres et le sauvetage de la récolte". Bien qu'importante, cette baisse va influer de façon marginale sur le prix de cession de l'huile d'olive sur le marché, la plupart des huileries ayant déjà fixé le prix de leur prestation, ainsi que celui de la cession des premières fournées.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)