Quand on a décidé de localiser l’hôpital à la sortie-est d’Azzazga, c’était pour faire profiter les malades de l’air pur de la forêt de Yakourène qui commence à l’orée de la ville.
Aujourd’hui, c’est une immonde décharge qui enfume et empeste l’air autour de l’établissement, souille le paysage et pollue une forêt déjà salie par des commerces anarchiquement installés le long de la route et tondue, par endroits, du fait de l’abattage sauvage d’arbres.
Tout cela se passe dans l’indifférence des autorités locales.
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Posté Le : 23/04/2014
Posté par : akarENVIRONNEMENT
Photographié par : Photo et texte: Rubrique Radar
Source : liberte-algerie.com du mardi 22 avril 2014