Oh toi le cerveau, qu’imagine au de-là de toutes sorte d’illusion,
Toi qui pars en voyage à travers temps dans cette vie d’équation
Sans que je sache pourquoi tu ma amène avec toi, dans cette transaction,
Tel un nuage d’été tu apparais, tu déparais dans le futur comme dans le passé
Ou certaines images semble tellement réelle que l’on peut les effacer,
Parfois un cauchemar qui brule le cœur, d’une souffrance geler par la peur,
Ou d’amour tellement pur, celui d’une joie d’aimé dans le jardin du bonheur,
Parfois tu devin ou un petit orphelin, tu ne cherches point à comprendre tiens
Ou alors tu transforme en diable avec cette haine qui col est dans tes veines,
Asuivre
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Posté Le : 13/11/2018
Posté par : Mokraneaitlounes
Ecrit par : mokrane ait lounes
Source : internette