Algérie

Aujourd’hui, rentrée de la Formation professionnelle


«Des sections spéciales pour les sans niveau» Le ministre de la Formation et de l’Enseignement Professionnels, El Hadi Khaldi, en visite mercredi dernier, à Oran, a fait un long exposé sur la stratégie de son secteur, celle aussi de renforcer le secteur par la prise en charge des déperditions scolaires afin de faciliter l’insertion des jeunes en créant des sections spéciales pour les sans niveau». Toujours, en matière de facilitation d’accessibilité des jeunes stagiaires aux différentes sections de formation, le ministre dira que 8O sections seront ouvertes à Oran, a-t-il rappelé aux acteurs concernés et que le jeune apprenti va percevoir 4.OOO DA par mois en plus des 1O% du salaire minimum garanti. M. Khaldi qui devait répondre également à la question d’une élue relative à une absence remarquée d’équipements dans la section informatique du centre de formation professionnelle à Aïn El-Türck, s’est montré intraitable sur ce sujet indiquant qu’»il est prêt à ouvrir un dossier d’évaluation précisant que son département travaille selon des standards internationaux». «Nous reconnaissons que nous avons des problèmes, que nous avons des lacunes mais de là à avancer qu’il y’a un manque de matériel dans certaines sections comme l’informatique, je ne laisserais pas passer cela. Une section informatique dispose d’au moins 11 micros. Mieux, nous disposons d’un budget-équipement conséquent de l’ordre de 2O milliards de Da et nous croyons avoir renouvelé toutes les sections». Par ailleurs, le ministre s’est engagé à relancer prochainement le chantier de la réalisation du centre de la formation professionnelle de la commune d’Arzew après un arrêt pour audit. Il a rassuré le maire d’Arzew à ce propos sans toutefois donner de détails sur la conclusion du rapport d’expertise. Aussi s’est-il contenté de dire que «le chantier en question à l’arrêt depuis 2OO7, a été ordonné par ses soins pour un audit par l’inspection générale du ministère de tutelle après une demande de réévaluation du maître de l’ouvrage pour un montant de 132 millions de Da. «Outre certaines réserves que nous avons relevées au cours de notre visite à l’époque, telles les malfaçons, nous avons été surpris par le montant de la réévaluation que nous avons jugé très coûteux» a confié à l’assistance le ministre. Safi Z.
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