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Aucune avancée pour trouver une issue politique



Aucune avancée pour trouver une issue politique
Aucune avancée pour trouver une issue politique au conflit en Syrie n'a été faite ce qui a amené le médiateur de l'Onu, Lakhdar .Aucune avancée pour trouver une issue politique au conflit en Syrie n'a été faite ce qui a amené le médiateur de l'Onu, Lakhdar .Brahimi, à suspendre les négociations à Genève et à s'estimer "tout à fait désolé" s'excusant "auprès du peuple syrien dont les espoirs étaient si grands". Le diplomate onusien a décidé de mettre fin aux discussions et n'a fixé aucune date pour une reprise des pourparlers, après le refus d'appliquer l'ordre du jour par la délégation du gouvernement syrien. "Je pense qu'il est préférable que chaque partie rentre et réfléchisse à ses responsabilités et (dise) si elle veut que ce processus continue ou non", a déclaré M. Brahimi à la presse.La dernière réunion à Genève entre l'opposition et le pouvoir syrien avait également échoué avec, toutefois, une avancée notable puisque pour la première fois les ennemis s'étaient parlés, selon les observateurs.Lakhdar Brahimi a expliqué que les deux parties avaient adopté des positions difficilement conciliables."Le gouvernement considère que la question la plus importante est le terrorisme, l'opposition considère que la question la plus importante est l'autorité gouvernementale de transition", a-t-il dit, ajoutant qu'il avait proposé d'évoquer d'abord "la violence et le terrorisme" pour passer ensuite au problème de "l'autorité gouvernementale"."Malheureusement, le gouvernement a refusé, provoquant chez l'opposition le soupçon qu'ils ne veulent absolument pas parler de l'autorité gouvernementale de transition", a ajouté le médiateur."J'espère que les deux parties vont réfléchir un peu mieux et reviendront pour appliquer le communiqué de Genève", adopté en juin 2012 par les grandes puissances comme plan de règlement politique de ce conflit qui dure depuis près de trois ans."J'espère que ce temps de réflexion conduira en particulier le gouvernement à rassurer l'autre partie (sur le fait) que quand ils parlent d'appliquer le communiqué de Genève, ils comprennent que l'autorité gouvernementale transitoire doit exercer les pleins pouvoirs exécutifs. Bien sûr, combattre la violence est indispensable", a expliqué M. Brahimi.Par ailleurs, un troisième round de discussions avec le gouvernement syrien sans parler de transition politique serait "une perte de temps", a estimé le porte-parole de la délégation de l'opposition, Louai Safi."Le régime n'est pas sérieux (...) nous ne sommes pas ici pour négocier le communiqué de Genève mais pour l'appliquer", a-t-il ajouté à propos du plan de règlement adopté par les grandes puissances."Nous devons être sûr que le régime veut une solution politique et pas des tactiques pour gagner du temps", a encore affirmé M. Safi à la presse.Côté gouvernemental, le chef des négociateurs, l'ambassadeur syrien auprès de l'Onu, Bachar Jafari, a accusé l'opposition "de ne pas respecter l'agenda", affirmant qu'il fallait d'abord conclure "par une vision commune" sur le premier point, la lutte contre la violence et le terrorisme avant de passer à un autre.Enfin, M. Brahimi a indiqué qu'il allait rendre compte à New York au Secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, et qu'il espérait que se tiendrait une réunion avec lui et les deux chefs de la diplomatie russe et américaine Sergei Lavrov et John Kerry.De son côté, Obama étudie de nouveaux moyens de pression sur Assad lors d'un entretien avec le roi Abdallah de Jordanie, auquel il a promis de nouvelles aides américaines pour faire face à l'afflux de réfugiés syriens.Dans sa résidence de Sunnyland, en Californie, le président américain a dit au souverain jordanien qu'il ne s'attendait pas à ce que le conflit se termine rapidement et qu'il y avait, donc, "des mesures immédiates que nous devons prendre pour faciliter l'aide humanitaire"."Il y a des mesures intermédiaires que nous pouvons prendre pour imposer davantage de pression sur le régime d'Assad et nous continuerons à travailler avec toutes les parties concernées pour essayer de parvenir à une solution diplomatique", a-t-il ajouté.Barack Obama n'a pas précisé la nature de ces nouvelles mesures à l'étude, mais ces derniers jours, le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, en tournée en Asie, avait indiqué qu'une série de nouvelles options faisaient l'objet de discussions.Brahimi, à suspendre les négociations à Genève et à s'estimer "tout à fait désolé" s'excusant "auprès du peuple syrien dont les espoirs étaient si grands". Le diplomate onusien a décidé de mettre fin aux discussions et n'a fixé aucune date pour une reprise des pourparlers, après le refus d'appliquer l'ordre du jour par la délégation du gouvernement syrien. "Je pense qu'il est préférable que chaque partie rentre et réfléchisse à ses responsabilités et (dise) si elle veut que ce processus continue ou non", a déclaré M. Brahimi à la presse.La dernière réunion à Genève entre l'opposition et le pouvoir syrien avait également échoué avec, toutefois, une avancée notable puisque pour la première fois les ennemis s'étaient parlés, selon les observateurs.Lakhdar Brahimi a expliqué que les deux parties avaient adopté des positions difficilement conciliables."Le gouvernement considère que la question la plus importante est le terrorisme, l'opposition considère que la question la plus importante est l'autorité gouvernementale de transition", a-t-il dit, ajoutant qu'il avait proposé d'évoquer d'abord "la violence et le terrorisme" pour passer ensuite au problème de "l'autorité gouvernementale"."Malheureusement, le gouvernement a refusé, provoquant chez l'opposition le soupçon qu'ils ne veulent absolument pas parler de l'autorité gouvernementale de transition", a ajouté le médiateur."J'espère que les deux parties vont réfléchir un peu mieux et reviendront pour appliquer le communiqué de Genève", adopté en juin 2012 par les grandes puissances comme plan de règlement politique de ce conflit qui dure depuis près de trois ans."J'espère que ce temps de réflexion conduira en particulier le gouvernement à rassurer l'autre partie (sur le fait) que quand ils parlent d'appliquer le communiqué de Genève, ils comprennent que l'autorité gouvernementale transitoire doit exercer les pleins pouvoirs exécutifs. Bien sûr, combattre la violence est indispensable", a expliqué M. Brahimi.Par ailleurs, un troisième round de discussions avec le gouvernement syrien sans parler de transition politique serait "une perte de temps", a estimé le porte-parole de la délégation de l'opposition, Louai Safi."Le régime n'est pas sérieux (...) nous ne sommes pas ici pour négocier le communiqué de Genève mais pour l'appliquer", a-t-il ajouté à propos du plan de règlement adopté par les grandes puissances."Nous devons être sûr que le régime veut une solution politique et pas des tactiques pour gagner du temps", a encore affirmé M. Safi à la presse.Côté gouvernemental, le chef des négociateurs, l'ambassadeur syrien auprès de l'Onu, Bachar Jafari, a accusé l'opposition "de ne pas respecter l'agenda", affirmant qu'il fallait d'abord conclure "par une vision commune" sur le premier point, la lutte contre la violence et le terrorisme avant de passer à un autre.Enfin, M. Brahimi a indiqué qu'il allait rendre compte à New York au Secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, et qu'il espérait que se tiendrait une réunion avec lui et les deux chefs de la diplomatie russe et américaine Sergei Lavrov et John Kerry.De son côté, Obama étudie de nouveaux moyens de pression sur Assad lors d'un entretien avec le roi Abdallah de Jordanie, auquel il a promis de nouvelles aides américaines pour faire face à l'afflux de réfugiés syriens.Dans sa résidence de Sunnyland, en Californie, le président américain a dit au souverain jordanien qu'il ne s'attendait pas à ce que le conflit se termine rapidement et qu'il y avait, donc, "des mesures immédiates que nous devons prendre pour faciliter l'aide humanitaire"."Il y a des mesures intermédiaires que nous pouvons prendre pour imposer davantage de pression sur le régime d'Assad et nous continuerons à travailler avec toutes les parties concernées pour essayer de parvenir à une solution diplomatique", a-t-il ajouté.Barack Obama n'a pas précisé la nature de ces nouvelles mesures à l'étude, mais ces derniers jours, le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, en tournée en Asie, avait indiqué qu'une série de nouvelles options faisaient l'objet de discussions.




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