Le phénomène s'est répandu : des commerçants indélicats mettent des objets hétéroclites sur la chaussée en face de leur boutique pour «réserver» des places à leurs clients ou à leurs fournisseurs.Dans les rues des quartiers et même sur les grands boulevards très fréquentés, des parties de la chaussée, variables selon les endroits, sont encombrés par des installations et mêmes des chaînes.
Sur la rue Hassiba Ben Bouali, des cageots, des planches et parfois des brouettes, etc., sont installés le long de certains commerces, et à quelques pas du commissariat, empêchant les automobilistes de garer leurs véhicules et provoquant aux heures de pointe des bouchons sur cet axe important.
Pourtant, la loi est claire : toute installation ou plaque doit avoir une autorisation préalable des services communaux.
La demande du concerné doit être préalablement déposée au niveau de l'APC et une commission de daïra, composée des services de la police, entre autres, examine les demandes et rend un avis.
Mais il semble que les commerçants ne se soucient d'aucune autorité. Comme les parkingueurs, ces commerçants imposent leur diktat au mépris de la loi et de ceux qui sont censés les appliquer.
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Posté Le : 19/08/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : A I
Source : www.elwatan.com