Algérie

Attentat à la voiture piégée déjoué à Alep



Attentat à la voiture piégée déjoué à Alep
Les forces syriennes ont déjoué un attentat suicide à la voiture piégée à Alep, deuxième ville de Syrie, a rapporté vendredi la Télévision nationale syrienne.
Les forces syriennes ont déjoué un attentat suicide à la voiture piégée à Alep, deuxième ville de Syrie, a rapporté vendredi la Télévision nationale syrienne.
Le véhicule contenait 1.200 kg d'explosifs, selon la chaîne. Son conducteur a été tué avant d'avoir pu les mettre à feu.
Quelques heures plus tard, une explosion s'est produite aux abords du siège local du Parti Baas au pouvoir, selon les opposants de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
La déflagration n'a pas fait de victime mais un vigile a été tué au cours de l'échange de tirs qui a suivi, précise l'organisation, rapporte Reuters.
Deux attentats suicide à la voiture piégée avaient fait 55 morts et près de 400 blessés, la veille à Damas, un bilan sans précédent depuis le début du soulèvement antigouvernemental, à la mi-mars 2011.
Ce double attentat, qui n'a pas été revendiqué, a enfoncé un nouveau coin dans le plan de paix de Kofi Annan, émissaire de l'Onu et de la Ligue arabe, jugé caduc par l'opposition.
Pour Damas, il prouve que la Syrie est confrontée à un terrorisme soutenu par des puissances étrangères. Vendredi à Alep, des observateurs de l'Onu chargés de veiller au cessez-le-feu conclu le 12 avril dans le cadre du plan Annan ont inspecté le minibus qui contenait les 1.200 kg d'explosifs. Selon un officier syrien, la charge aurait pu tuer un demi-millier de personnes. Le chauffeur, dont le corps ensanglanté gisait derrière le pare-brise criblé de balles, n'était pas Syrien, a-t-il ajouté.
Comme chaque semaine, des manifestations se sont déroulées un peu partout après la grande prière du vendredi et les forces de l'ordre ont ouvert le feu sur les contestataires à Damas, à Homs et à Alep, rapportent des opposants.
Le véhicule contenait 1.200 kg d'explosifs, selon la chaîne. Son conducteur a été tué avant d'avoir pu les mettre à feu.
Quelques heures plus tard, une explosion s'est produite aux abords du siège local du Parti Baas au pouvoir, selon les opposants de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
La déflagration n'a pas fait de victime mais un vigile a été tué au cours de l'échange de tirs qui a suivi, précise l'organisation, rapporte Reuters.
Deux attentats suicide à la voiture piégée avaient fait 55 morts et près de 400 blessés, la veille à Damas, un bilan sans précédent depuis le début du soulèvement antigouvernemental, à la mi-mars 2011.
Ce double attentat, qui n'a pas été revendiqué, a enfoncé un nouveau coin dans le plan de paix de Kofi Annan, émissaire de l'Onu et de la Ligue arabe, jugé caduc par l'opposition.
Pour Damas, il prouve que la Syrie est confrontée à un terrorisme soutenu par des puissances étrangères. Vendredi à Alep, des observateurs de l'Onu chargés de veiller au cessez-le-feu conclu le 12 avril dans le cadre du plan Annan ont inspecté le minibus qui contenait les 1.200 kg d'explosifs. Selon un officier syrien, la charge aurait pu tuer un demi-millier de personnes. Le chauffeur, dont le corps ensanglanté gisait derrière le pare-brise criblé de balles, n'était pas Syrien, a-t-il ajouté.
Comme chaque semaine, des manifestations se sont déroulées un peu partout après la grande prière du vendredi et les forces de l'ordre ont ouvert le feu sur les contestataires à Damas, à Homs et à Alep, rapportent des opposants.




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