Assises nationales sur les poètes de la Révolution
Les 28 et 29 juin 2008 à Tébessa : Assises nationales sur les poètes de la Révolution
Des assises nationales sur les poètes de la Révolution seront organisées les 28 et 29 juin à Tébessa à l’occasion du 3e anniversaire de la mort de l’écrivain et poète Mohamed Chebouki, auteur du fameux chant patriotique "Jazaïrouna". La première journée de cette rencontre, à laquelle devront participer de nombreux écrivains, historiens et universitaires, aura lieu à Tébessa, tandis que la seconde se tiendra à la maison des jeunes de la ville de Cheria (Tébessa), village natal du défunt. Plusieurs conférences sur les poètes de la Révolution qui ont défendu avec patriotisme et abnégation la cause nationale, tels Moufdi Zakaria, Slimane Abdessalem, Mezhoudi, Mohamed Chebouki et bien d’autres, sont au programme de cette manifestation.
Mohamed Chebaiki, dit Chebouki, est né en 1915 dans la région de Cheria, à 47 km au sud de Tébessa. Il a appris le Coran et le fiqh auprès du cheikh Larbi Tébessi, avant de se rendre en Tunisie pour poursuivre ses études supérieures en sciences islamiques. De retour au pays, le cheikh enseigna la charia et le fiqh dans des écoles de l’Association des oulémas algériens dont il devint un membre actif. Militant du Parti du peuple algérien, puis au sein du Front de Libération Nationale, Chebouki sera arrêté et emprisonné par l’armée de l’occupation jusqu’à l’Indépendance.
Il occupa au lendemain de l’Indépendance, de nombreux postes puisqu'il a été président de l’APC de Cheria, membre de l’APW de Tébessa et membre de l'APN.
* Mohamed Chebouki décède le 13 juin 2006, à l’âge de 89 ans à Cheria.
Les poetes de la revolution et cheikh chebouki en est un des plus illustres,ont fait pour la revolution ce que les plus grands moudjahidine ont sacrifié pour la cause de leur peuple.CHEIKH CHEBOUKI ALLAH YARHAMOU a ecrit "DJAZAOUROUNA"poeme epique du fond des geoles francaises ay camp de détention de bossuet.IL PARLE de la grande bataille de djebel djorf en termes pathétiques et glorifie les djebels algériens comme ayant été les tremplins de la lutte de libération nationale .Le cheikh que nous avons connu de son vivant est un exemple des poetes de la revolution à l'instar de MAHMOUD DERWICH et CHAABI.Peut-etre qu'il reste encore meconnu et meriterait qu'une oeuvre historique soit ecrite à sa mémoire .L'ALGERIE EN général et Tebessa en particulier doivent s'enorguellir d'avoir enfanté un tel homme.Il rejoint dans l'histoire contemporaine de l'ALGERIE UN AUTRE AUGUSTE HOMME PENSEUR ET PHILOSOPHE,visionnaire homme de lettres confirme qu'est feu MALEK BENNABI,dont la pensée reste encore aujourd'hui d'actualité .
BOUTEHLOULA LAZHER - fonctionnaire - tebessa
17/10/2009 - 4379
D'ailleurs, parce que le vent, comme on dit, n'est pas à la poésie, ce n'est pas un motif pour que la poésie ne prenne pas son envol surtout au temps de la revolution . Tout au contraire des vaisseaux, les oiseaux ne volent bien que contre le vent. Or la poésie tient de l'oiseau. Quand le pouvoir du colonialiste pousse l'homme à l'arrogance, la poésie lui rappelle la richesse de l'existence. Quand le pouvoir colonialiste corrompt, la poésie purifie. La poésie de la Liberté est le souvenir des meilleurs et des plus heureux moments, des meilleurs et des plus heureux souvenirs.Tout poème naît d'un germe, d'abord obscur, qu'il faut rendre lumineux pour qu'il produise des fruits de lumière. Il faudrait parvenir à cette sagesse élémentaire de considérer les ténèbres où nous allons sans plus d'angoisse que les ténèbres d'où nous venons. Ainsi, la vie prend son vrai sens : un moment de lumière. Méditez sur la lumière. Premièrement vous êtes la lumière. Ensuite la lumière est en vous. Enfin, vous êtes la lumière. SANS RANCUNE ( rassem54@yahoo.com )
EL-HADJ - MESSAR - Alger
20/05/2009 - 3416
BOUTEHLOULA LAZHER - fonctionnaire - tebessa
17/10/2009 - 4379
D'ailleurs, parce que le vent, comme on dit, n'est pas à la poésie, ce n'est pas un motif pour que la poésie ne prenne pas son envol surtout au temps de la revolution . Tout au contraire des vaisseaux, les oiseaux ne volent bien que contre le vent. Or la poésie tient de l'oiseau. Quand le pouvoir du colonialiste pousse l'homme à l'arrogance, la poésie lui rappelle la richesse de l'existence. Quand le pouvoir colonialiste corrompt, la poésie purifie. La poésie de la Liberté est le souvenir des meilleurs et des plus heureux moments, des meilleurs et des plus heureux souvenirs.Tout poème naît d'un germe, d'abord obscur, qu'il faut rendre lumineux pour qu'il produise des fruits de lumière. Il faudrait parvenir à cette sagesse élémentaire de considérer les ténèbres où nous allons sans plus d'angoisse que les ténèbres d'où nous venons. Ainsi, la vie prend son vrai sens : un moment de lumière. Méditez sur la lumière. Premièrement vous êtes la lumière. Ensuite la lumière est en vous. Enfin, vous êtes la lumière. SANS RANCUNE ( rassem54@yahoo.com )
EL-HADJ - MESSAR - Alger
20/05/2009 - 3416
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Posté Le : 12/10/2008
Posté par : cheriani
Source : www.elmoudjahid.com