ASM Oran 2 - CS Constantine 0

«El-Djemïa» annonce la couleur Stade « Habib Bouakeul «, temps chaud, assistance moyenne, pelouse en bon état, arbitrage de M. Fredj assisté de MM. Achour et Yahi. Avertissements : Bouhedda 45’, Merghad 55’ et Tounkob 89’(ASMO) - Kabri 3’(CSC)Buts : Seddoud 17’ et Benhalima 76’ ASMO : Bouhedda, Ould Lakhdar, Derbal- (Nessakh 60’), Merghad, Megherbi (Cap), Tahar, Seddoud, Tounkob, Benhalima, Bouraba (Beghalia 86’), Ould Haddou (Mohamedi 69’). Entraîneur : Bendoukha CSC : Daïf, Soudani, Hamraoui, Benabdallah, Kabri, Khellaf, Kab, Rahem (Farès El-Aouni 59’), Zeggour (Djab El-Kheir 46’), Medjoudji, Meliani (Dob Mounir 68’). Entraîneur : JanakovichPour la venue des Constantinois du CSC, les Asémistes ont endossé leur traditionnelle tenue verte, celle du bon vieux temps. Et, sachant qu’un faux pas serait préoccupant en cette entame de championnat, ils s’appliquèrent à jouer rentablement en prenant, résolument et d’entrée, l’initiative des opérations. Leur supporteurs constatant leurs bonnes intentions prirent résolument parti et les poulains de Bendoukha, soutenus comme ils l’avaient rarement été auparavant allaient se donner à fond, jouer collectivement, agréablement pour placer des banderilles en particulier par Benhalima , Ould Haddou, Tounkob et Seddoud parfaitement soutenus. Les « Sanafirs « pourtant solidement armés et organisés à tous les niveaux éprouvèrent des difficultés à se dépêtrer d’adversaires entreprenants qui, à la 17’ de jeu, et sur une balle arrêtée, magistralement, bottée, Seddoud crucifia l’infortuné Daïf. Les protégés de Janakovich, ayant trouvé sur leur chemin une équipe pourtant remaniée à quatre-vingt-quinze pour cent et plus difficile à manœuvrer que prévu, durent s’incliner sur un autre coup franc d’anthologie signé Benhalima à la 76’, doublant ainsi la mise pour son équipe. Cet avantage au tableau d’affichage acquis au bon moment, Megherbi et ses coéquipiers s’attachèrent à le préserver laissant l’initiative à leurs antagonistes qui, en dépit des changements opérés par le coach constantinois et les efforts consentis par Djab El-Kheir, Medjoudji et Meliani, ne parvinrent ni revenir au score et encore moins à inquiéter le portier Bouhedda qui annihila toutes les tentatives adverses. B. Louacini